1. Première expérience à trois (suite et fin)


    Datte: 24/10/2017, Catégories: fhh, hbi, extraoffre, inconnu, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral préservati, pénétratio, hdanus, hsodo, uro, init, couplea3,

    ... suis activé plus frénétiquement encore sur la chatte de Sabine, avalant avec un égal bonheur ma salive et ses sécrétions, lui mordillant les lèvres, aspirant le clitoris gonflé. À son tour, elle s’est raidie en criant. Son sexe a expulsé un peu de liquide. J’ai d’abord pensé que c’était de l’urine mais je m’en foutais, je la buvais avec plus de gourmandise encore. De manière désordonnée, elle a frotté son sexe contre ma bouche et mon nez et a violemment resserré les cuisses. Mon visage était trempé. En jouissant, elle a plongé de plus belle sur ma bite. Ses dents ont effleuré le petit renflement à la base du gland, ça a suffit pour que mes couilles puis mon sexe se contractent une dernière fois. — Ça vient, ai-je prévenu. Tout à son orgasme, elle ne s’est pas retirée. J’ai voulu la repousser mais je me suis abstenu et j’ai attendu la délivrance. Elle m’a gardé en bouche, la première giclée a buté contre son palais. Mieux, tandis que mon sexe était agité de soubresauts, j’ai senti sa langue frotter contre mon gland et s’attarder sur le méat. Elle n’a toujours pas bougé quand j’ai continué de me déverser. A-t-elle avalé mon sperme ? A-t-elle entrouvert les lèvres pour le laisser couler sur les draps ? Je n’en sais rien et je ne le lui ai bien sûr pas demandé. Qu’elle ait accepté de me garder en bouche, de goûter ce que j’avais de plus intime, de payer de sa personne pour que ma plénitude ...
    ... soit totale me suffit amplement. ***** Aujourd’hui, je suis marié, j’ai un enfant, bientôt un deuxième. Je ne suis pas riche mais je profite à mon tour d’une vie confortable. Je n’ai malheureusement jamais pu afficher ce détachement, cette légèreté que j’admirais chez ceux que j’ai crû être mes amis. Sans doute parce qu’ils ne sont pas là. D’eux, de ces quelques jours d’avril, de cet apprentissage, je n’ai jamais soufflé mot à mon épouse. Mais ils me manquent et il ne se passe pas une semaine sans que, malgré ce qui s’est passé ensuite, je repense à Sabine et Samuel. J’ai crû qu’en plongeant dans ces souvenirs, en les empoignant et en les malmenant, en les décrivant avec autant de justesse que possible et autant de crudité qu’il fallait, je guérirais. Il n’en a évidemment rien été. A trois, nous avons conquis le monde. Ils m’ont fait connaître des plaisirs insoupçonnés, ceux que j’ai décrits et bien d’autres encore. Ils m’ont appris à aimer et à me laisser aimer, sans retenue et sans fausse pudeur. « Rien n’est sale en amour », m’avait glissé Sabine. Je ne l’ai crue qu’à moitié mais les jours qui ont suivi lui ont donné raison. De ces jours et de ces nuits, de ces étreintes, de ces corps détrempés, de ces regards chavirés, de ces extases et de ces humiliations, de ces esprits fous et de ces marques sur la peau, je ne regrette rien. Si ce n’est, sans doute, de ne pouvoir les vivre encore. 
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