1. Première expérience à trois (suite et fin)


    Datte: 24/10/2017, Catégories: fhh, hbi, extraoffre, inconnu, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral préservati, pénétratio, hdanus, hsodo, uro, init, couplea3,

    ... faisait plus que de furtives apparitions entre ses doigts, la délivrance était imminente. — Ça vient… ai-je lancé.— Laisse-toi aller. Elle a ralenti le rythme, sa main s’est faite plus douce. À la seconde ultime, elle s’est immobilisée, se contentant de crisper les doigt autour de ma hampe. La peau était tendue au maximum, mon membre tremblait légèrement, surpris dans un inconfortable entre-deux, il appelait une délivrance que la coquine, seule aux manœuvres, refusait encore de lui accorder. Il lui aurait suffi de trembler elle aussi, de bouger un peu les doigts pour que je me répande, mais non, tout son avant-bras avait acquis la rigidité d’une statue de sel, elle me dévisageait d’un air narquois. Je me figurais un compte-gouttes de pharmacien : le liquide est emprisonné dans le tube de verre, que le praticien desserre les doigts sur le manchon et tout est à recommencer, qu’il accentue sa pression et le niveau monte inexorablement. Praticienne accomplie, Sabine, tout en gardant ses doigts en anneau à la base de mon sexe, m’a effleuré le frein avec l’autre main. Une caresse qu’en d’autres circonstances, je n’aurais probablement pas sentie tant elle était discrète. Mais cette légère griffure a suffi à mon bonheur : mon sexe a repris vie, il s’est cabré, sa gueule s’est grand ouverte et a expulsé un premier jet, étonnamment épais. Mes fesses, puis mes abdominaux se sont contractés, j’ai relevé le bassin et je pense même avoir laissé échapper un cri lorsque, avec une ...
    ... puissance que je n’aurais pas crue possible, deux ou trois autres salves se sont écrasées sur mon ventre. Sabine ne m’avait pas lâché. De deux doigts, elle me caressait le gland tandis que son autre main était descendue pour m’emprisonner les testicules. Elle les massait avec juste ce qu’il faut de fermeté, comme si elle les encourageait à bien se vider. Tandis que je retombais inerte sur le matelas, elle a ourlé les lèvres et a gobé mon sexe. Elle l’a embrassé avec une infinie tendresse, réconfortant de la langue un gland devenu tellement sensible. J’avais littéralement perdu pied et donc, je ne sais combien de temps a duré ce dernier câlin. Je me souviens juste qu’après dix secondes, dix minutes ou dix heures, elle s’est redressée, m’a déposé un baiser sur la joue et s’est allongée entre Samuel et moi. Quand je me suis réveillé, bien plus tard, j’étais seul dans le lit. Les tentures étaient toujours tirées et le soleil, malgré ses efforts, ne parvenait pas à les percer. J’ai regardé ma montre, il était 14h30. À travers la porte fermée, j’ai entendu sourdre les échos d’une conversation. Je trouvais inconvenant de faire attendre mes hôtes plus longtemps et je me suis donc levé et habillé. J’ai traversé la pièce qui, hier encore, servait de salle de danse. Les meubles étaient toujours alignés sur le côté, bouteilles et verres vides avaient été rassemblés sur une table basse. La chaise – ma chaise – n’avait pas bougé de la nuit. Je lui ai, silencieusement mais sans trop de scrupules, ...
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