Promenade en forêt - Histoires de Sexe

Promenade en forêt

... courbaturée de partout. Quand on chute comme ça, les muscles se contractent et lorsque ça se refroidit, on le sent passer.— Mais j’crois pas qu’on est venus là pour parler de mes petites misères, j’croyais qu’t’avais vraiment quelque chose à me raconter ?— …— J’croyais par exemple qu’ça t’avais intéressé de m’visionner à travers le carreau, de zieuter c’que j’faisais et que maintenant t’avais honte de ce que j’allais penser !— Oui, un peu, finis-je par concéder. Un peu honte.— T’imagines pas non plus qu’c’est aussi un peu de ma faute à moi, qu’si j’avais tiré les rideaux, ça se serait pas passé. Et ben moi, j’peux dire qu’j’ai pas honte, d’y avoir pris du plaisir, ni même qu’tu m’aies regardé. J’l’ai fait et toi t’as r’gardé, alors c’est pas vraiment grave. Mais j’aimerais vraiment qu’tu m’dises c’que t’en penses toi, parce que y’a qu’moi qui parle et qu’vais pas tout t’macher. [Note de l’auteur : Je ne sais pas si vous avez remarqué mais, dans sa façon de parler, Aline éludait toutes les voyelles. Un accent pas typiquement canadien mais un drôle d’accent quand même. Dans le but de rentre le texte plus compréhensible, j’ai traduit la suite en français standard] — Moi, je t’ai trouvée très belle (Je n’avais rien trouvé de plus bidon à dire)… Je veux dire que je t’ai trouvée très… Séduisante… très attirante. Plus ça allait, plus je m’enfonçais. Elle marchait d’un bon pas, j’avais du mal à la suivre. J’aurais préféré m’arrêter, réfléchir, prendre mon temps pour avoir les ...

... idées claires. — … et même qu’après j’y ai repensé.— Et tu t’es masturbé ? Un « oui » minuscule se perdit au milieu du concert des crissements des sauterelles. — Ben, je pense aussi que tu l’as fait, et plutôt deux fois qu’une. Nous venions d’entrer dans un secteur sans rochers. Je pense qu’elle l’avait exprès, pour se mettre à l’écart de mes grimpeurs d’amis. De plus, la forêt était plus dense, l’idéal pour se planquer. Du coup, elle s’est arrêtée : — Bon, et maintenant que je suis blessée, comment je vais faire pour me caresser ?— Ça pourrait s’arranger. Je pourrais t’aider.— Le problème c’est que j’ai pas l’air de te plaire, alors je voudrais pas que ce soit une corvée pour toi— Oh si tu me plais… Tu me plais énormément, cousine.— Ah, la bonne affaire ? TU me l’as pas dit. Et qu’est-ce qui te plais quand tu penses à moi la nuit ?— Ta chatte, j’aime ta chatte poilue, j’ai jamais vu une si jolie touffe. Sans hésiter une seconde, avec sa main valide, elle baissa son jogging en entraînant sa culotte dans la descente. Seulement jusqu’à mi-cuisse mais amplement suffisant pour démasquer son luxuriant buisson. — Alors, c’est ça qui te plait, cousin ?— Hummm oui. Génial. Très, très, excitant, dis-je en reluquant sa touffe (Elle avait même des poils sur l’intérieur des cuisses et bizarrement ça m’excitait) — Mais est-ce que tu saurais aussi t’occuper comme il faut de mes deux petites tétines ? Aide-moi à ôter mon t-shirt… Je ne fis pas prier. Je fis attention à sa main pour ne pas lui ...