1. Une journée pas pire qu'une autre


    Datte: 14/01/2021, Catégories: fh, inconnu, médical, Collègues / Travail ffontaine, Masturbation intermast,

    ... doit l’amener aux urgences les refaire. Allez, zou ! Vu le lieu, vu l’heure, je ne serai pas chez moi avant 21 ou 22 h. Immeuble de ville, troisième étage avec ascenseur, mais pourrons-nous l’utiliser ? On sonne et on rentre comme les consignes l’indiquaient. On appelle, et une voix grave d’homme nous répond un peu plus loin. « Ici, dans la salle de bain au fond à gauche. » Malgré l’habitude, il y a toujours une certaine appréhension sur ce qu’on va découvrir. Rentrer dans l’intimité des gens que l’on ne connaît pas ne se fait pas toujours sans problèmes. J’arrive la première dans la salle de bain. Il est étendu par terre à côté de sa baignoire, souriant, mais à moitié nu, juste couvert d’une serviette de bain. Il a trois plâtres ! Le poignet droit, le bras gauche et la jambe gauche. Ce n’est pas le pire. Il est beau ! J’en suis presque subjuguée. Le temps d’arrêt que j’ai marqué devait être un peu trop long, aussi me demande-t-il de bien vouloir l’aider à se relever. Mon collègue entre enfin derrière moi et nous l’aidons à le mettre en position verticale. Je ne dis pas debout car il ne le peut pas. Il nous explique en même temps ce qu’il lui ait arrivé. Il a eu un accident de moto et vit seul, il se débrouille comme il peut. Il voulait se laver seul pour ne pas être obligé d’attendre l’infirmière. La douche finie, c’est en enjambant la baignoire qu’il a glissé et a cassé ses plâtres. Les fractures étant toutes fraîches, avec la douleur il n’a pas pu se relever. Heureusement, ...
    ... il avait son portable à portée de main. Mais qu’est-ce qu’il est beau ! En le relevant, la serviette de bain a glissé. Il s’est retrouvé nu l’espace d’un instant et je n’ai pu que voir son sexe magnifique. Pas gros, non, mais quand même de bonne taille au repos. Mais joli, agréable à regarder. Mais qu’est-ce que j’ai, moi ? J’ai chaud ! Mes envies me travaillent depuis tout à l’heure, et voilà que je mate un client. Pendant que mon collègue le soutient, je vais lui chercher des vêtements en me faisant guider par sa voix. Sa voix… grave, sensuelle. Un caleçon, une paire de chaussettes dont une seule servira, un tee-shirt et un survêtement. On l’habille sur place, et en lui mettant son caleçon j’en profite pour mater encore une fois. Je commence à être trempée. Il sent bon, il est beau, j’ai une folle envie de sexe. Qu’est-ce qu’il va prendre, mon homme, ce soir ! Alors que nous descendons par l’ascenseur en le soutenant de chaque côté, mon esprit vagabonde sur ce que je pourrais faire de mon mari cette nuit. Ou plutôt de ce que je lui ferai faire de moi. Ce soir, je ne serai pas sa femme. Ce soir, je ne serai pas non plus la mère de son fils. Ce soir, je serai sa maîtresse, son amante. Je me donnerai à lui et ferai tout ce qu’il souhaite. J’ai envie de jouir, d’être comblée, remplie. J’ai envie de le tremper. Zut, je viens de lui faire mal ! Pas à mon mari, mais au plâtré. Je rêvais presque trop fort éveillée, je lui ai trop serré le bras. Il faut que je me reprenne, ce n’est ...