1. Une journée pas pire qu'une autre


    Datte: 14/01/2021, Catégories: fh, inconnu, médical, Collègues / Travail ffontaine, Masturbation intermast,

    ... pas du tout professionnel. Nous l’installons à l’arrière de l’ambulance et mon collègue va prendre le volant, forcément. Je décide de rester à côté de mon patient. Ce n’est plus un client, c’est MON patient à MOI. Il est beau, je n’en reviens pas. Nous partons pour l’hôpital. Mon collègue met de la musique un peu trop fort à mon goût, mais ce n’est pas grave. La seule chose qu’il trouve à nous dire c’est que nous ne sommes pas près d’arriver, vu les bouchons. Et il n’y a aucune urgence vitale. Je lance la discussion avec mon rêve. Il est trop beau, je rêve forcément. Nous parlons moto, son accident, mon mari qui est aussi motard, pas moi mais j’aime bien me faire balader. Je le gronde gentiment sur le risque qu’il a pris à vouloir se laver seul. Mais il est célibataire et a sa fierté. Il ne voulait pas attendre l’infirmière le lendemain pour pouvoir se laver. Il est plâtré, pas handicapé. Là, il regrette, bien entendu, mais trouve quand même le moyen de me dire qu’il ne perd pas au change avec ma compagnie. J’ai l’habitude qu’on me fasse du rentre-dedans, mais généralement ce sont plutôt les vieux qui puent. Là, il me touche. J’ai envie d’écouter ce qu’il me dit. Mon collègue nous hurle dessus plutôt que de baisser sa musique ; nous en avons pour près d’une heure avant d’arriver à l’hôpital. Je dis à mon patient que je ne suis pas pressée. Et je ne mens pas. Je n’ai pas envie que ce voyage s’arrête si vite. La honte ! Il vient de me demander de lâcher sa main un instant ...
    ... alors que je ne me suis pas du tout rendu compte que je la tenais depuis que nous nous étions installés à l’arrière. J’ai chaud, très chaud. Je lui demande s’il a un problème, si je peux faire quelque chose pour l’aider. Il me fait signe de se pencher vers lui, ce que je fais immédiatement. Il me susurre à l’oreille que c’est un problème purement masculin. Je lui ai mal mis son caleçon et ça lui fait mal. Il me susurre à l’oreille… J’ai mon nez dans ses cheveux. Il sent si bon… Je perds la tête. Son souffle chaud sur mon lobe d’oreille. Je trempe ma culotte. Je lui réponds sans réfléchir ; je ne suis plus apte à ça, que je suis juste là pour l’aider. Il me sourit lorsque je me redresse. « Et votre mari ? » ; « Chut… » Je craque complètement. Je glisse ma main sous son survêtement. Je sens ses abdos qui se crispent. Il a la peau si douce, si chaude… Mes doigts entreprennent de passer sous son caleçon. Je sens effectivement son gland pris sous l’élastique et comprends qu’il devait avoir mal. J’allais remettre son engin en place, mais le contact de ma peau sur lui le fait gonfler presque instantanément. Je n’arrive pas à m’en détacher. Au contraire, je le resserre un peu plus. Nous nous regardons dans les yeux, souriant tous les deux. — Vous pouvez me lâcher si vous voulez.— Non. Ma main me quitte, elle prend vie, devient indépendant de moi, de ma volonté. Je jette un coup d’œil rapide devant, vers mon collègue qui ne voit rien. En un seul geste ma main lui baisse un peu son ...