1. En costumes dans la cité des Doges


    Datte: 14/01/2021, Catégories: ff, 2couples, couple, couplus, voyage, bateau, collection, facial, Partouze / Groupe

    Engourdi dans la monotonie hivernale, je propose à ma femme d’aller nous divertir à Venise à l’occasion du carnaval. Redoutant de nous retrouver seuls à l’étranger, Christine – ma conjointe – tout d’abord réservée sur le projet, me pose ses conditions : partir avec un autre couple d’amis (Alain et Marie) pour égayer notre voyage et acheter des masques pour sortir dans les rues et danser dans les bals de la capitale de la Vénétie. Ma femme gagne sans difficulté mon approbation et contacte notre couple d’amis, qui donnent rapidement leur assentiment. Un mois après, nous sommes tous les quatre dans l’avion à destination de l’aéroport de Venise. Un petit bateau-taxi en teck nous attend pour nous conduire directement à notre hôtel dans le quartier proche de la place San Marco. Le capitaine place les bagages sur les sièges avant et nous aide à entrer dans le bateau. Le temps est nuageux mais la température est clémente sur la mer Adriatique. Dans le sillage de l’embarcation, des mouettes nous suivent comme pour nous accueillir dans la cité chargée d’histoire. Au loin, nous distinguons les îles de Murano et de San Michele, la dernière étant un cimetière bien soigné et toujours fleuri. Sur les canaux, des bateaux transportent des passagers costumés confirmant que la période du carnaval bat son plein. Le petit bateau entre dans un canal, passe sous deux ponts et accoste à un ponton à l’entrée de notre hôtel, le Sant’ Angelo, sur le Grand Canal, un authentiquepalazzo bâti dans un ...
    ... classicisme digne de la république de Venise. Nous nous installons dans deux grandes chambres contigües communicantes. Christine et Marie défont les valises et rangent les vêtements. Avec Paul, je commande cafés, œufs à la coque et fruits pour nous requinquer après un voyage bien matinal. Nos femmes se douchent puis nous rejoignent toutes nues sous leurs peignoirs de bain. Avec leurs cheveux humides et leur teint frais, elles engouffrent les pâtisseries et boivent leur capuccino. Puis elles sortent de leurs sacs les masques en papier mâché : énigmatiques pour elles et de modèle Arlequin avec un long nez pour les hommes, ils ne couvrent que le haut du visage. Elles mettent les leurs sur leur visage et nous aident à placer les nôtres en ficelant les rubans derrière nos nuques. Devenus personnages de lacommedia dell’arte, nous cédons ainsi au rituel du carnaval avec ses illusions et son concept de transgression permettant de se soustraire temporairement au quotidien. Nous nous approchons d’un grand miroir pour apprécier l’effet de nos masques respectifs. Ceux que portent nos femmes donnent une impression de douceur et de mélancolie ; ceux que nous portons une impression de facétie et de ridicule. Alain porte ses lèvres sur celles de sa femme qui laisse chuter son peignoir de bain. Elle lui caresse le torse, s’agenouille, sort son membre et commence une fellation. Christine l’imite, de sorte que dans le miroir nous regardons nos femmes lécher nos queues qui grossissent. De tailles ...
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