Le train de nuit (1)
Datte: 15/01/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
J’observais le soleil se coucher à l’horizon, comme un symbole de mes vacances qui se terminaient. J’étais seule sur le quai, à l’exception du chef de gare attendant l’arrivée imminente du train. J’espérais qu’il ne serait pas trop bondé. Si seulement je pouvais être seule dans mon compartiment-couchette, ça serait l’idéal ! J’avais plutôt intérêt à passer une bonne nuit car je retournais au boulot dès le lendemain. Je n’avais pourtant aucune hâte de troquer mes belles montagnes contre ce retour à la grisaille parisienne. J’avais passé deux semaines merveilleuses chez ma sœur, emplissant mes poumons du bon air pur de la nature. Encore un an avant ma retraite et peut-être pourrais-je moi aussi m’installer dans la région. Certes, je m’éloignerais ainsi de mon fils et de ma fille, tous les deux travaillant à Paris, mais je ne les voyais pas si souvent que cela non plus, et puis rien ne m’empêcherait de monter à la capitale régulièrement. Je ne leur en avais toutefois pas parlé pour le moment : ils aimaient compter sur moi pour garder mes petits-enfants. Le train se fit entendre dans le calme de la nuit tombante. Un jeune homme fit alors son apparition sur le quai, en courant. Je sentis une légère odeur de sueur tandis qu’il s’approchait de moi. J’espérais ne pas avoir à partager son compartiment : son odeur musquée ne serait pas des plus agréables dans un espace aussi confiné. Le train s’arrêta devant nous et je le vis alors se diriger, à ma plus grande joie, vers un autre ...
... wagon que le mien. Je m’emparai de ma valise et gravit les quelques marches raides menant à l’intérieur. Je réexaminai une nouvelle fois le numéro de mon compartiment sur mon ticket, avant d’emprunter le couloir menant aux différentes cabines. Elles avaient toutes le rideau tiré, signe qu’elles étaient sans doute toutes occupées au moins par une personne. Mais, alors que j’approchai de mon numéro, je vis que la mienne n’avait pas son rideau tiré ! Allais-je donc vraiment être seule ? M’arrêtant devant la porte vitrée, j’eus un véritable petit choc. Le compartiment n’était pas vide : une jeune fille était allongée sur une couchette, le bas entièrement dénudé ! J’avais une vue imprenable sur ses fesses ! Je restais un moment interdite devant la porte. Il allait falloir que je passe la nuit en compagnie de cette jeune fille totalement impudique ! J’étais troublée. Je me décidais toutefois à pénétrer à l’intérieur, le cœur légèrement affolé. Le bruit de la porte sembla la sortir de son sommeil car elle se retourna sur sa couchette. Après le côté pile, j’avais le droit au côté face... Etait-elle consciente de son exhibition ? Et si c’était un homme qui était entré dans le compartiment ? Peut-être était-ce après tout ce qu’elle espérait, il était évident qu’on ne pouvait se retrouver étendue cul nu dans un train-couchette involontairement ! Tandis que j’installais ma valise, je la vis s’étirer et refaire surface. Elle se tourna vers moi, sans chercher à dissimuler son corps. - Bonsoir, ...