1. Le train de nuit (1)


    Datte: 15/01/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... me dit-elle d’une petite voix endormie. - Bonsoir, je m’excuse, je ne voulais pas vous réveiller. - Ce n’est pas votre faute, j’ai le sommeil très léger et je ne dors jamais bien dans les trains de nuit. Elle sembla alors se rendre compte enfin de sa nudité. - Oh, j’espère que je ne vous ai pas choquée, poursuivit-elle. J’arrive encore moins à dormir si je reste habillée alors je me dis : au diable la pudibonderie ! Je me contentais d’un sourire devant son air innocent. J’espérais toutefois que sa naïveté ne lui jouerait pas de vilains tours à l’avenir. Elle semblait légèrement plus jeune que ma fille : je me sentais presque investie d’un devoir maternel envers elle. Je tirais le rideau de la porte avant de regagner ma propre couchette. Nous étions cette fois dans le noir le plus complet. Je n’arrivais pas à m’endormir. La nudité de la jeune fille m’avait sans doute davantage perturbée que je ne voulais bien l’admettre, me dis-je amusée. Décidément, on rencontrait vraiment de tout dans ces trains de nuit ! Je l’entendais se tourner et se retourner sur sa couchette, preuve qu’elle ne passait pas une très bonne nuit elle non plus. Puis elle poussa quelques légers soufflements et me dit qu’elle avait sans doute finis par trouver le sommeil. Mes yeux s’étaient habitués à l’obscurité et, me tournant vers elle, je distinguais alors quelques mouvements de son côté. Elle n’était pas du tout en train de ronfler ! Sa main semblait s’agiter entre ses jambes ! Je m’entendis déglutir. ...
    ... J’étais tombée sur un véritable phénomène ! La jeune fille, ayant des difficultés à s’endormir, cherchait-elle à se procurer un orgasme, afin de libérer quelques phéromones propres à jouer le rôle de somnifères naturels ? Je me souvenais, comment, adolescente, je me faisais jouir dans mon lit le soir à la veille d’examens importants, afin de chasser le stress m’empêchant de me reposer... Mais de là à faire ça dans un train avec quelqu’un dans la couchette d’à côté, il fallait oser ! Après de longues minutes à ressentir la masturbation de ma voisine, elle sembla enfin s’apaiser, ayant certainement atteint l’orgasme souhaité. Elle était sans doute prête à s’endormir alors que de mon côté, j’étais plus éveillée que jamais ! Je ressentais dans mon bas-ventre ce picotement significatif synonyme d’excitation. C’était la première fois que je surprenais quelqu’un en pleine caresse intime et je devais avouer que cette expérience était pour le moins troublante, surtout après la séance d’exhibition de la jeune fille. Divorcée depuis cinq ans, ma vie sexuelle se résumait depuis à des caresses solitaires semblables à celles que ma jeune voisine venait de s’adonner. Etait-ce la frustration de ce manque de contact avec autrui qui me mettait dans tous mes états ? A mon tour, je commençais à me tourner et à me retourner sur mon étroite couchette, mais sans réussir à trouver l’apaisement. J’étais tentée d’imiter ma voisine, mais je me raisonnais : je n’allais tout de même pas me toucher moi ...
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