1. Le blé à moudre (2)


    Datte: 17/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... d’apercevoir ce Graal perdu là ou ses cuisses se rencontrent. Il ne rate plus le film du dimanche soir sur le canapé. Et il arrive que l’un de ses pieds se perde sur sa cuisse d’homme. Elle ne cherche pas à la retirer, ne voyant aucun mal à cela. Mais il y a aussi d’autres instants plus intenses, ceux par exemple ou il joue au gosse. Dans ces instants magiques, il éprouve un grand bonheur, mais il doit aussi se méfier. Tout débute toujours de la même façon. Il bâille plusieurs fois de suite et s’étend sur le divan. Sa tête vient sur les genoux de Rose. Elle plonge alors sa main dans ses tifs, les tiraillant, les lissant, lui massant le cuir chevelu. Alors il fait une chose qu’il n’aurait jamais cru possible il y a encore quelques mois. Il tourne son visage vers ce ventre qui l’a porté. Elle fait des gestes qu’elle a toujours faits sur son gamin, mais lui a le regard rivé sur la fourche toute proche, et il espère toujours que les pans de son vêtement vont lui offrir une bonne fortune. Bien sûr ça n’arrive jamais, ou alors il se peut que de temps à autre le col de sa chemise ou de son déshabillé se distende suffisamment pour qu’il entrevoie la naissance d’un sein. Il les aime ceux-là. Ce qu’il en a vu certaines nuits n’est pas fait pour calmer ses envies. Ils semblent lourds, et surmontés d’un téton de belle taille, pas comme ceux des midinettes de sa classe qui ressemblent trop à des têtes d’épingle. Combien, de fois a-t-il dû se mettre le ventre sur l’assise du canapé, ...
    ... juste pour que Rose ne voit pas cette bandaison sauvage que provoque la vision furtive ou l’image seulement s’un nichon qui se dévoile. Mais elle ne caresse plus jamais son torse ou son dos comme quand il avait dix ou douze piges. Non ! Elle se contente des cheveux, parfois la nuque, mais plus jamais plus bas. Il rêve qu’une seule fois, elle laisse errer cette main si douce plus bas que son ombilic, qu’elle frôle aussi ces poils qui ont poussé drus, autour de sa queue. Mais apparemment, il n’a aucune chance. C’est en vase clos que se passent les soirées à la maison. Il passe le plus clair de celles-ci dans sa chambre. Elle pense qu’il fait ses devoirs, mais il regarde des pornos sur le net. À dix-huit ans de toute manière, il n’y a rien de répréhensible. Non c’est juste que ces cochonneries sont toujours faites par des femmes mûres. Et de plus il les sélectionne, les cherchant les plus ressemblantes possible avec Rose. Il imagine parfois aussi qu’il filme ses passages sous la douche, pour pouvoir s’en repaitre la nuit. Il n’a pas encore osé le faire, le matériel lui fait défaut, mais sur le web, tout est possible. Plus ça va, plus il devient accro de cette femme dont il partage la vie depuis toujours et il n’est jamais aussi fier que lorsqu’elle déclare avec un sourie à l’une ou l’autre de ses amies... — C’est lui, l’homme de ma vie ! C’est dôle aussi que personne, enfin pas un mec ne soit un jour venu passer un moment avec elle. À moins que ce ne soit arrivé que lorsqu’elle le ...
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