1. Les Parques 4/8


    Datte: 17/01/2021, Catégories: fh, ff, hplusag, uniforme, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, policier,

    ... se reprend. Et espère. Elle rassemble ses longs cheveux noirs, dégage son visage, passe ses doigts sur ses joues pour effacer les traces salines et se décide à pousser la porte. Pourvu qu’il soit là, son Jules, elle a besoin tellement de lui ce soir. À peine entrée, la jeune femme aperçoit la table dressée dans la pièce à vivre, les bougies allumées, la lumière tamisée. Elle perçoit des odeurs de cuisine sans pouvoir les identifier. Elle se dit qu’il l’a vue arriver, se garer dans la rue, qu’il s’est précipité pour allumer les bougies, régler l’éclairage. Le scénario l’émeut. D’un petit coup d’épaules, elle laisse tomber son manteau au sol. Ses jambes flageolent un peu, elle s’appuie contre le mur.Jules, ô mon Jules, tu ne pouvais pas avoir meilleure idée, pense-t-elle attendrie, reconnaissante. Et le voici, Jules, sapé comme un minet, une rose rouge à la main. — Mais,… pourquoi… tout ça, demande-t-elle timidement Un immense sourire illumine le visage de l’homme. — Parce qu’il faudrait obligatoirement une raison… pour te dire que je t’aime ? Bérénice se sent fondre : — Viens, embrasse-moi, tout de suite, avant que je m’effondre ! Décontenancé, Jules ne sait plus quoi faire de sa rose, la dépose précipitamment sur la commode du couloir. Il prend le visage de sa chérie dans ses mains avant de poser doucement ses lèvres contre les siennes. Le tendre baiser tourne vite au patin langoureux, les lèvres se soudent, les langues se fourragent, les souffles se confondent. Et quand il ...
    ... quitte la bouche pour butiner son cou, Jules sent le corps de sa maîtresse s’enrouler autour du sien, ses mains lui tirer la chemise hors du pantalon pour se glisser dessous et ancrer des ongles assassins dans son dos. Il la sent chaude, la petite eurasienne, frémissante déjà, terriblement impatiente. — Prends-moi Jules, là, tout de suite, prends-moi, baise-moi ! Il ne s’attendait pas à une telle frénésie ; elle qui d’habitude lui souffle toujours de savourer, de prendre son temps, de se calmer un peu quand l’envie l’aiguillonne. « Baise-moi », a-t-elle dit ? Cette demande, brutale, nette, impérieuse, sans détour, le pique au vif. Il tente de trousser la jupe, mais elle trop étroite pour remonter suffisamment haut. D’un solide mouvement de hanches, Bérénice les fait tourner sur eux-mêmes. De plaqueur, il devient plaqué, collé au mur ; Bérénice s’est détachée de lui et fait glisser en même temps sa jupe et son slip, les fait voler à travers la pièce d’un rapide coup de pied ; alors qu’il se débarrasse à peine de sa chemise, elle est déjà nue devant lui, exposant son arrogante poitrine et ses tétons déjà érigés, sa petite motte recouverte de longs et fins poils soyeux qui dessinent une délicate plume d’oiseau sur son pubis. Il n’a pas le temps d’en voir plus, sa maîtresse déchaînée s’est collée contre lui, plaquant sa bouche sur un de ses tétons qu’elle suce, caresse, cajole de sa langue experte. Elle est déchaînée, gourmande et ouvre sans tarder la fermeture de sa braguette où ...