1. Les Parques 4/8


    Datte: 17/01/2021, Catégories: fh, ff, hplusag, uniforme, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, policier,

    ... plongent ses doigts impatients. Alors qu’elle a déjà attrapé l’objet de sa convoitise, elle abandonne le téton et lève vers lui un visage radieux. — Il a pas mis de slip le petit salaud ! Oh, tu sais que j’aime ça ! Jules fait sauter le bouton de son pantalon qui lui coule aux chevilles, mais il n’a pas le temps de s’en défaire, une bouche déjà emprisonne sa queue, une langue affole son gland. À genoux, Bérénice pompe le manche avec frénésie, elle suce, lèche, embrasse, mordille, engloutit la bite, ses doigts s’y agrippent, l’étranglent, la paluche tant et tant que le pauvre garçon s’affole, craignant de ne pouvoir résister longtemps à un pareil traitement. Il tente de se dégager, mais la bougresse l’attrape par les fesses, le bloque encore un moment pour profiter encore de l’insolent braquemart. Quand elle le libère enfin, c’est pour lui prendre la main et l’entraîner vers la cuisine. — Jules, tout à l’heure, tu feras de moi ce que tu voudras, mais là, maintenant, je veux que tu me baises, que tu me défonces ! Je suis ta putain qui ne veut qu’une chose, ta queue dans ma chatte, je veux que tu me démontes, que tu m’exploses, me retournes et m’expédies au ciel, sans penser à toi. Juste à moi, à ma chatte affamée ! Bérénice grimpe sur la table, les fesses au bord du plateau, les cuisses écartelées, ses doigts écartant ses lèvres pour bien ouvrir sa grotte incendiée. Sidéré par cette fougue et cette supplique impérieuse, Jules s’exécute avec empressement. Il jubile en sentant ...
    ... son amie tressaillir d’aise à peine la bite engagée, frémir à nouveau lorsque le gland franchit la porte, et encore lorsqu’il s’enfonce brutalement jusqu’au fond de la caverne. Il sent bien qu’elle ne sera pas longue à décoller, il se retire pour mieux s’enfoncer encore, jusqu’à la garde, jusqu’à la butée de l’antre brûlant. À chaque va-et-vient, il lit dans son regard les vagues montantes qui entraînent sa chérie vers l’extase : — Ah, tu veux te faire baiser comme une chienne, salope ? Tiens, prends ça, prends ça encore ! Il le voit, il le lit dans ses yeux que ces paroles sont le coup de fouet qu’elle attendait, le coup de pouce aux coups de queue qui l’expédiera vers l’azur. — Oh, oui, oui, halète-t-elle, je suis ta… ta pute, je suis… une sa… une sa… une sa… lope ! Oui ! OUI ! OUI ! hurle-t-elle déjà, incapable de se contenir plus longtemps ! Avec un bonheur indicible, Jules assiste à l’orgasme de sa chérie, cette transe magnifique qui illumine son visage, contracte ses lèvres, agite sa tête de droite à gauche. Elle malaxe ses seins, se triture les nichons pendant qu’il continue encore et encore à la buriner. Bérénice est au ciel, dans l’espace étoilé de mille feux, son corps est un brasier, sa chatte navigue entre douleur et plaisir, ses sens sont explosés. Elle n’en peut plus de ce bonheur, mais en appelle encore. Les doigts enfouis dans ses cheveux, elle se masse, elle griffe son cuir chevelu, elle n’a plus raison ni conscience véritable, son corps est tendu comme un arc, ...