1. J’ai pas l’habitude de passer des soir


    Datte: 18/01/2021, Catégories: Anal Gay Inceste / Tabou

    ... volupté. C’était torride, sensuel.Je tremblais de tout mon être, de toute ma chair et lui aussi.Nos sexes étaient raides, humides, chauds. Il faisait chaud. Très chaud.Soudain, sans crier gare, Quentin, son frère ouvrit la porte de sa chambre d’un seul coup !- Hey les filles, y’a votre pote qui vient d’arri... ! hurle-t-il en le faisant entrer.- Heu... Grégoire ... désolé (je l’avais complètement oublié). Je sentis mon visage devenir tout rouge, je réalisais la scène qu’il découvrit en pénétrant dans la chambre. Nos deux corps enlacés, bouche contre bouche, amoureux...Grégoire et le frère de Brendan restèrent immobiles, bouche bée, sans voix.Nous aussi.... Incapables de bouger ou d’émettre le moindre son. Rouges comme le ketchup du MacDo.Le premier à rompre ce silence de mort, ce fut le frère de Brendan, avec toute la délicatesse que vous pouvez imaginer :-alors les filles, on vire lesbiennes ?Puis se tournant vers Grégoire :- T’as vu ça ? Elles sont chaudes les garces ! Ma parole, on peut pas les laisser 5 minutes toutes seules ... faut toujours qu’elles gouinassent ces deux là ! »Grégoire poussait des yeux, la bouche bée, sans mot, sans voix, sans un geste. Il était tétanisé, choqué.Je ne sais plus combien de temps on est restés à l’arrêt, mais je me souviens que Brendan m’a finalement attrapé la tête et m’a embrassé à nouveau, avec encore plus de fougue que tout à l heure. Il me bouffait la gueule avec toute la virilité qu’on lui connaît et je peinais à suivre les ...
    ... mouvements de sa langue tant ils étaient intenses.Ce faisant, il baissa son jogging pour me présenter son sexe dressé, gorgé de mouille.Il m’attrapa par les cheveux et poussa ma tête contre sa bite pour que je l’avale. Ce que je fis sans me faire supplier, il la poussa si fort, que je me la pris direct au fond de la gorge, donnant des coups de reins pour l’enfoncer d’avantage.Je le léchais - non pas comme une chatte, mais comme une bête - je lui dévorais la bite de bas en haut, de haut en bas, jusqu’à la garde, sentant ses couilles bien pleines me frapper au menton. J’adorais qu’il me domine de la sorte, j’aimais qu’il me baise comme une femelle, comme si j’étais sa petite femme.Cette situation m’avait excité, je découvris que j’aimais me donner en spectacle, montrer aux autres comment je donne du plaisir à un Homme, avec ma bouche, mes mains, mon corps. Je savais que les deux autres nous mataient et ça me faisait triquer d’avantage !D’abord Quentin – puis Grégoire s’étaient doucement rapprochés du lit ou nous étions.Ils nous mataient, touchant leurs queues comme devant un bon porno avec entre les cuisses une bonne grosse gauleGrégoire – d’un tempérament plutôt timide malgré ses allures de « racaille bourge » aurait du être choqué devant cette scène, au mieux, il se serait cassé de l’appart en courant, mais toutes les pintes de bière qu’il s’était enfilé en m’attendant l’avaient désinhibé. Il nous matait, sans rien dire.Quentin, lui par contre, gros baiseur devant l’éternel, n’était ...
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