1. ALICE, FABIEN ET VINCENT (1) : LE QUIPROQUO


    Datte: 25/10/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ALICE, FABIEN ET VINCENT (1) : LE QUIPROQUO Bonjour je m'appelle Vincent. Je vais vous raconter comment a débuté mes relations peu orthodoxes avec le couple d'Alice et Fabien. Tout commence une journée de printemps un peu maussade. Je venais de commencer une semaine auparavant un boulot de consulting dans une boîte à Paris et pour me changer les idées, ce midi-là, je décide de manger un sandwich dans un jardin proche de mon lieu de travail. J'aime mater les nanas qui font leur jogging car elles sont souvent au naturel, peu maquillées et sans artifice. Non seulement, ça me permet de souffler loin de l’agitation des bureaux mais en plus, on repère très vite les plus jolies nenettes, surtout avec la mode des leggings qui ne laissent rien échapper au regard. A 30 ans passés je n'ai toujours pas de nana officielle. J’aime ma situation de célibataire endurci. Je suis plutôt beau gosse : je suis très grand pour la moyenne (1m91) et d'allure sportive sans être musclor non plus. Habillé en chemise et costume sans cravate, j'attire le regard avec mon bronzage permanent, mes yeux d’un noir profond, mon visage rasé mais où un très léger duvet pointe en permanence et mes cheveux châtains foncés un peu fous. Les femmes aiment perdre leurs mains dedans. J'attire les femmes folles de sexe et jolies mais pas cérébrales pour deux sous. Du coup, je n'ai toujours pas trouvé chaussures à mon pied et ce n'est pas avec les horaires à rallonge que je fais au boulot que j'arrive à sortir les soirs ...
    ... de semaine. Bref je suis tranquillement installé sur un banc quand l’une des nanas que je préfère dans le lot, une belle brune à la peau blanche impeccable, aux petits seins et avec un cul à damner un saint, s'asseye à côté de moi. - Bonjour Maître, me lance-t-elle -... Je reste complétement interdit et n'ose pas lui demander de répéter. Ai-je bien compris, a-t-elle bien dit « Maître » ? - Je suis tellement contente que tu aies pu venir finalement ! Je suis nue sous mon pantalon comme tu me l'as demandée, Maître et d’ailleurs courir ainsi m’a fait mouiller comme une dingue ! Mon entrejambe est trempé de cyprine, je sens l’air froid passer dessus ! -... -vu le temps, j'imagine qu'on se retrouve dans les toilettes hommes du musée d'ici 2min? A tout de suite, Maître. Je bave d'impatience ! Ponctua-t-elle avant de partir Et elle s’éloigna en petites foulées gracieuse avec son petit popotin qui se trémoussait sous son pantalon moulant. Ces dernières phrases confirment ce que j’avais cru comprendre la première fois. Elle m’appelle « Maître ». En plus de la savoir nue dessous j’ai une trique pas possible. J’imagine que les coutures la branlent doucement. Mon gland dépasse même du boxer, je sens l'élastique le caresser au gré de ses soubresauts. Non mais c'est quoi cette blague ?! Je regarde mon téléphone pour essayer de découvrir le pourquoi du comment. Peut-être que quelqu'un me fait une farce. Je me rappelle soudain que samedi soir j'ai posté un commentaire sur les réseaux sociaux ...
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