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ALICE, FABIEN ET VINCENT (1) : LE QUIPROQUO
Datte: 25/10/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... bouche peut-être. Je suis surpris de sa demande mais après tout ce que je viens de vivre, je ne suis plus à ça près ! Je me penche donc en avant pour me mettre à sa hauteur et ses lèvres qui quelques instants plus tôt étaient sur mon dard viennent se plaquer sur ma bouche. Elles sont encore bouillantes et humides de désir et sa langue vient ouvrir ma porte. Je lui cède volontiers. Elle a un goût un peu piquant et salé, un reste de mon jus je suppose. Elle se colle à moi telle une chatte et commence à me décalotter le gland de nouveau avec ses petites mains! Une bête que je ne connaissais pas jusqu’à présent se réveille alors en moi et ma bite prend les commandes sur mon cerveau. J'ai toujours une capote dans ma poche droite et sans même réfléchir je l'enfile, lui enlève son pantalon et lui ordonne de se pencher en avant, la croupe en hauteur. Elle s'exécute et son cul est juste parfait comme je l'imaginais! Quelle beauté! Elle est toute rasée. Elle se cambre et ses deux trous sont bien visibles. Je fais glisser mon gland entre ses petites lèvres roses. Peine inutile elle mouille déjà abondamment cette chienne. Ma queue est littéralement aspirée à l'intérieur de sa chatte. Pendant que je la bourre, je lui titille l'anus avec mes doigts. D'abord l'index, puis le majeur, puis les deux. Je sors ma bite de sa cavité suave et baveuse pour aussitôt m'empaler dans son cul. Son sphincter cède immédiatement et je peux la pénétrer jusqu'à la garde en un coup. -mmm oh oui c'est bon, ...
... ne put elle se retenir de dire alors que jusqu'à présent elle faisait attention à ne pas se faire repérer dans les toilettes. Je la pistonne avec force et vigueur tout en touchant son clitoris. Pendant ce ramonage en règle, elle n'arrête pas de gémir et ne contrôle plus ses paroles. "Encore" "vas y encule moi" "c'est bon" "oh oui continue" « j’aime qu’on m’éclate la rondelle » jusqu'à son explosion finale. Ses jambes flageolent. Je la retins et dans un dernier soubresaut, retire la capote, la fais pivoter pour qu'elle avale de nouveau mon nectar. Je jouis comme jamais auparavant en six longues giclées. Cette cochonne avale tout avec plaisir en me regardant droit dans les yeux de manière effrontée. Vraiment quelle bonne salope! Mais contre toute attente, l'envie qui m'a pris de posséder cette nana qui m'appelle Maître, me donne également l'envie de la protéger contre d'éventuels prédateurs qui peuvent voir et profiter de son côté soumis. Un peu comme un animal de compagnie en somme. Je l'aide à avoir meilleur allure et je jette un coup d'oeil en dehors avant de la laisser partir devant moi. Moi-même je me passe un coup d'eau sur mon visage avant de sortir du musée. Ma soumise a déjà disparu. Je regarde ma montre et me dépêche de retourner à la boîte, l'heure du fin de déjeuner est largement dépassée! Mais quelle pause déjeuner, ça en valait la peine ! Quand je rentre au bureau cet après-midi-là, j'ai l'impression que ce que je venais de faire est imprimé noir sur blanc sur ma ...