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Le piège à l'école
Datte: 20/01/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore,
... doigt ! Murmure Sarah à l’oreille d’un des plus entreprenants.Laurie vit les pires secondes de sa vie, à être ainsi entravée et exposée ventre et fesses nus, totalement offerte devant ces homme abjecte qui viennent voir sa déchéance comme au spectacle mais c’est bien pire encore lorsque l’un d’eux s’approche, touche l’entrejambe offert et constate d’un doigt inquisiteur que l’excitation est là. L’excitation n’est pas, c’est simplement le contenu du tube de lubrifiant que Sarah a vidé dans son vagin avant de s’enfuir et qui s’écoule lentement.- Putain les mecs, elle est trempée comme une salope !- Cette salope a écrit sur son blog que les étudiants d’ici bandent trop mou pour la faire jouir. Crie l’un deux. Si ça ce n’est pas de la provoc c’est quoi ?Deux autres s’approchent, touchent sans aucune gêne et constater que Laurie est vraiment mouillée. La seule chose qui mouille chez la victime sont ses yeux. Murée dans son silence elle pleure toutes les larmes de son corps. Submergée de honte et de rage, elle a pris l’ampleur du piège dans lequel elle est tombée.- Cette garce nous allume, on va lui faire voir si on bande mou. S’écrie l’un des étudiants en sortant sa verge gorgée de désir.Ce qu’elle entend lui arrache le cœur, comment peuvent-ils penser qu’elle désire se faire violer ?- Ouai, on va la ramoner cette salope et lui faire regretter d’oser écrire ça sur son blog ! Clame un autre en défaisant sa braguette.Tirant sur ses liens comme une perdue, Laurie essaie de se ...
... soustraire à l’inévitable. Au plus elle bouge, au plus ses fesses deviennent le centre d’intérêt des mâles en rut. Le plus courageux monte sur la table, sous les encouragements des étudiants. Laurie agite sa tête dans tous les sens pour dire « non » mais ses gémissements ne sont pas perçus. La verge tendue fait son chemin entre les cuisses maintenues ouvertes par les cordes, rien ne peut plus l’arrêter.Prostrée et en pleurs elle est prise sur cette table devant tout le monde et ne peut rien faire pour se dérober à l’intrusion de la bite profanant son intimité aux chairs délicates. Elle s’agite sous l'infernal va et vient comme pour se soustraire mais en vain, ou même pire, ses mouvements sont pris comme de l’excitation ou du plaisir et largement commentés. Complètement rompue par le désespoir elle se laisse aller au rythme du ballottement de son corps sur la table en pleurant silencieusement.L’étudiant la besogne comme un malade tandis que ses jambes engagent un combat sans espoir. Infatigable et pervers, il la possède jusqu’à sa jouissance en rallant comme un loup solitaire croquerait une brebis malgré la présence des spectateurs.A peine a-t-il laissé la place sous des applaudissements obscènes qu’un autre prend la place, ajuste sa verge et s’engage alors dans la fleur féminine comme un rustre. Ses poignets agités de vaines contractions rythment le martèlement violent. Il la laboure purement et simplement comme si la v******e d’un coït était une démonstration de virilité.Subissant ...