Le piège à l'école
Datte: 20/01/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
... les assauts et coups de bélier de plusieurs hommes depuis plus d'une demi-heure, Laurie n’est plus qu’un réceptacle, un objet de plaisir, sans âme et sans désir qu’on utilise à l’envie, sans considération ni attentions simplement humaines. Le dernier, bien décidé à lui offrir un feu d’artifice bien plus fort que les autres veut s’offrir son cul.Laurie comprend tout de suite au doigt préparant l’étroit chemin de son anatomie qu’elle va vivre son pire cauchemar : se faire enculer devant tout le monde. Dans l’intimité, elle adore ça, mais là, présentement, la honte la submerge, son violeur ne le sait pas et s’il le savait n’en aurait que faire. Au contraire, pour « préserver » sa pudeur, il demande de l’aide, qu’on la force à cambrer les reins, qu’on lui écarte les fesses. Jamais au grand jamais, elle n’aurait imaginé vivre un jour une telle avanie.L’étroit orifice exposé entre les deux paires de mains devient la cible du beau Priape couvert d’un préservatif. En guise de lubrifiant, il crache sur l’étoile peureusement contractée avant de la forcer de son gland turgescent. Pendant un instant, la rosette poussée vers l'intérieur du rectum se refuse à éclore. Laurie lâche des cris de terreur et de souffrance dans son bâillon mais son violeur maintient sa pression insensible aux supplications. Sous les yeux des aides et spectateurs l'anus vient de céder et d'absorber d'un coup toute la longueur de la verge et lui arrache un grand cri étouffé.- Oh, les mecs, elle n’est pas neuve de ...
... ce côté-là moi je vous le dis.Le jeune homme monté comme un dieu entreprend de labourer le rectum à grands coups de reins, obligeant Laurie à s'agripper à ses entraves pour se maintenir en position sous peine de se massacrer les seins sur le plateau de la table. Ils rient lorsque sous la pénétration sauvage ses petites mains s’agrippent aux entraves. Gagnée par une sorte de frénésie, ses vagissements se transforment en râles, pendant un instant, elle en oublie les spectateurs et sa condition. Son corps commence à la trahir, elle commence à éprouver un plaisir malsain, ignoble et complètement fou. Durant une seconde elle a effleuré l’extase un spasme l’a traversée, elle vit un de ses fantasmes malgré toute l’horreur de la situation. La jouissance monte en elle, gagnant son cerveau perturbé par le rut sauvage et ignoble.Des ondes maléfiques traversent ses reins, un plaisir odieux la submerge. L’implacable vigueur, avec laquelle il la prend use sa résistance, lui fait perdre conscience des réalités pour finir par lui offrir le plus long et le plus puissant orgasme de sa vie.Tout au long de son viol les téléphones portables prennent des photos et vidéos qui s’échangeront dans toute la fac et sur internet. Lorsqu’enfin ils la libèrent, elle les voit mais ferme les yeux comme pour effacer le souvenir de cette extase qui vient de la transporter et la met à présent mal à l'aise puis la fait se sentir coupable. Les viols l’ont cassée, ont brisée son vernis social mais la jouissance ...