Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (1)
Datte: 21/01/2021,
Catégories:
Transexuels
Salut c’est votre folle de lycra Bonjour, je suis Franck, trente-cinq ans, un mètre quatre-vingt-deux, quatre-vingts kilos ; voilà dix ans que je suis marié à Patricia, trente-cinq ans, un mètre quatre-vingt, soixante-douze kilos. Nous formons un couple très harmonieux, complice et uni, je n’ai pas honte à avouer que c’est ma femme qui porte la culotte à la maison. Ma femme sait alterner entre soumission et domination, douceur et autorité ; c’est pour cela que j’adore son caractère. Quand nous nous sommes mis ensemble rapidement elle m’a imposé à ce que je lui nettoie son minou tous les matins et que je lui sente sa culotte les soirs. Le coquin que je suis n’y voyait aucun inconvénient sauf que cela a rapidement dégénéré, à tel point qu’au bout de six mois il fallait que je porte ses culottes toutes douces de la veille. Cela avait la fâcheuse tendance à me filer la gaule toute la journée, finalement je m’y suis fait et j’y ai pris goût avec le temps. Patricia m’a ensuite fait enfiler ses collants puis ses petits chemisiers tout doux, La douceur des vêtements qu’elle m’imposait de porter aidait fortement à ce que je l’accepte, c’était même devenu un automatisme pour moi. Je n’avais que très peu de dessous masculins et ma garde-robe féminine augmentait semaine après semaine. Au bout d’un an de vie commune, j’en étais arrivé à porter des robes et escarpins à la maison ; en sachant que ma future femme exigeait que je laisse pousser mes cheveux. Ma future femme était en train de ...
... faire de moi sa petite femme ; c’est ainsi que le jour de notre mariage j’étais totalement en femme en dessous de mon costume de marié. Le fait d’être ainsi accoutré me donnait toujours plus d’énergie quand je faisais l’amour à ma belle. Au bout d’un an de mariage Patricia n’avait même plus à me demander de m’habiller en rentrant je faisais cela automatiquement et c’est carrément moi qui choisissais ma tenue. C’est ma belle qui se chargeait de mes achats et elle a même poussé le luxe jusqu’à m’offrir, pour l’anniversaire de mes trente-deux ans, une paire de magnifiques cuissardes. — En plus de devenir ma petite femme tu es en train de devenir une petite salope. — On a un peu plus de huit ans, l’homme que j’avais rencontré j’en ai fait une soumise — La soumise que tu es, je vais faire de toi une chienne assoiffée de sexe. Les projets à mon égard n’étaient pas pour me déplaire, d’autant que depuis quelques jours elle exigeait que nous sortions habillées en femme. Compte tenu du fait que maintenant j’avais pris l’habitude de marcher avec des talons hauts et avec mes cuissardes, cela paraissait plutôt pour moi comme un défi. Quand Patricia invitait ses amies, elles n’y voyaient que du feu ; ma femme disait que j’étais une cousine et cela passait comme une lettre à la poste. Donc maintenant nous allions faire les courses ensemble entre femmes les gens devaient peut-être penser que nous étions des gougnottes. Maintenant mes cheveux descendaient jusqu’à ma poitrine et c’est Patricia ...