Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (1)
Datte: 21/01/2021,
Catégories:
Transexuels
... qui s’occupait de les couper. Face à tant de douceur vestimentaire et au bout de toutes ces années, maintenant le supplice c’était pour moi d’être habillé en homme. Depuis peu de temps elle s’était acheté quelques godes à ceinture pour pouvoir s’occuper de moi, voilà comment en peu de temps, j’ai découvert que je pouvais jouir juste par mon petit cul. — Quand je vois comment tu jouis quand je te prends, je me rends compte que tu es bonne qu’à être baisée. C’est avec de tels propos que Patricia m’excitait toujours un peu plus, même si ces propos étaient souvent dégradants, cela avait une petite tendance à me chauffer. J’adorais aller dans les magasins féminins car elle me trouvait toujours des vêtements superbes, doux et moulants comme j’adore. Pour mes trente-cinq ans, elle avait invité toutes ses copines et leur avait révélé la supercherie, je peux vous garantir que toutes sont restées sur le cul d’étonnement. Ce jour-là j’ai eu le droit à un cadeau suprême à savoir que toutes celles qui voulaient me faire une fellation pouvaient en profiter et de mon côté je pouvais aussi manger le minou de chacune qui le désirait. Rapidement, il a fallu que je sois toujours rasé et épilé de près et que ma peau soit douce comme celle d’une femme. Je savais que ses copines étaient coquines mais jamais je n’aurais pensé qu’elles l’étaient à ce point. Par contre ce soir-là, je n’ai eu le droit d’en pénétrer aucune, c’était un peu dur car toutes ses amies étaient bien bandantes. Le soir au ...
... moment de me coucher j’étais sur le point de prendre ma douche et ma femme m’a dit qu’elle préférait que je reste ainsi, à sentir le minou de ses copines. En fait ce soir-là tout mon corps sentait la femme mais pas la mienne, juste l’odeur intime de ses amies. Bien que mon sexe ait été fortement sollicité ce soir-là, je me suis endormi avec un reste d’érection. Le mardi matin au réveil ma belle m’a informé que le samedi d’après nous irions manger chez son directeur et sa femme, son mari était pressé de rencontrer le conjoint de sa directrice commerciale. Sans le vouloir elle me mettait la pression, je me demandais si j’allais être à la hauteur mais Patricia savait tout cacher de notre relation particulière. Le samedi venu, ma belle était en grands préparatifs et moi je psychotais un peu, j’avais un peu peur d’avoir le rôle de la potiche durant ce dîner. Nous sommes arrivés à 18h chez Claude et Muriel, c’était un couple, la cinquantaine bien tassée mais toujours très beau et désirable que ce soit Monsieur ou Madame. Le mari était quelques centimètres plus grand que moi et il avait une autorité naturelle quant à sa femme d’une grande beauté de la taille de Patricia, peut-être un peu plus forte, paraissait aussi autoritaire ou bourgeoise, je ne sais pas trop. C’était un couple qui avait l’air de savoir se faire écouter à la maison comme en dehors. La maison était très joliment décorée avec des tableaux de maîtres mais des imitations bien évidemment. Il y avait des boiseries partout, ...