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Un quiproquo qui tombe à propos.
Datte: 21/01/2021, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe attache, confession,
... presque totale si ce ne sont les quelques poils qui se battent en duel sur le pubis. Il a décidé pour moi. Mon peignoir tombe au sol alors que sans me quitter des yeux, l’homme couvre son engin avec une capote. — T’as une préférence ? Voilà ce qu’une pute doit demander à un client. Et la pute, si j’avais pu m’en cacher la vérité avec le premier, est bien dans cette chambre. Elle s’appelle Maryse. — Comme cela, me répond l’homme alors qu’il avance pour se saisir de moi, me soulève comme un fétu de paille, me colle tout contre lui et me laisse descendre lentement sur son bâton de chair. Je m’accroche autour de son cou. Je le ceinture avec mes jambes, mais rien ne peut empêcher ma fente de s’ouvrir sous la pression de ce gland rose que j’ai à peine eu le temps de voir. Un gland qui fraye son chemin, m’ouvrant tel un coin ouvre une bûche, sans à-coup, tout en force. Mais un coin qui me remplit petit à petit alors que l’homme me laisse tomber. Une fraction de seconde, j’imagine la bite continuer son chemin et me transpercer de part en part me menant au paradis des putes retrouver Marie-Madeleine. Mais aurais-je le droit de la côtoyer ? Oui, on me paye, mais moi ce n’est pas pour vivre, c’est juste que cela m’excite et me fournit des amants qui me donnent tant plaisir. Voilà, je suis empalée « jusqu’à la garde », comme on dit. Il ne peut aller plus loin. Mais c’est bon de se sentir ainsi pleine de cette verge que d’une main j’ai réveillée. Elle palpite en moi, mon vagin lui fait ...
... une douce enveloppe toute de chaleur et de douceur. Putain que c’est bon de se sentir ainsi possédée par cet homme dont les mains servent de coussin à mes fesses, mais des coussins qui eux aussi, enveloppent, étreignent et… oh oui, qui me soulèvent pour me laisser redescendre, frotter mes parois humides et si sensibles. Il m’appuie contre le mur et s’active plus vite. Je suis sa chose et c’est bon. Il me baise avec ce bâton qui me paraissait si gros et qui pourtant coulisse en moi pour m’apporter tant de plaisir. Du plaisir juste en me possédant, un plaisir sourd, différent de la jouissance libératrice, mais un plaisir qui dure qui dure. Mais il doit fatiguer, car il me pose sur la table contre la cloison. Le mur me sert maintenant d’appui et la distance entre l’homme et moi me permet de le voir à l’œuvre. À l’œuvre, car maintenant il a plus de liberté et son mandrin plus d’amplitude. La capote semble avoir disparu. Je ne vois que la chair humide et parfois ce bout rose sombre qui sort un instant avant de revenir me prendre. C’est bon, c’est bon. Comme le précédent, je peux sentir la puissance de ce corps, les muscles rouler sous la peau, les traits du visage hésiter entre douleur et plaisir. Il va si fort maintenant que la table cogne la cloison de coups qui doivent résonner dans tout l’immeuble. Ah, si mon mari pouvait l’entendre ! Ah Christophe, si tu pouvais me voir ! Ah, combien tu regretterais de m’avoir cocufiée et insultée ! Ah combien tu serais stupéfié de voir ta ...