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Un quiproquo qui tombe à propos.
Datte: 21/01/2021, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe attache, confession,
... femme baisée ainsi, dans une chambre d’hôtel, labourée par cet homme qui n’est pas de « notre monde », mais dont la spontanéité et la puissance te feraient peur ! Ah, mais aussi tu comprendrais en me voyant que j’ai du plaisir, que cet homme et l’autre avant, me libèrent d’un carcan moral pour me laisser libre pour tout tenter. Ah ! Mais tu ne peux pas entendre. Et pourtant… Lui aussi est beau, la sueur ruisselle de son visage, de son torse viril alors qu’il s’active pour son plaisir. Mais le plaisir sourd monte encore plus. Libre de mes mouvements, je me caresse les seins, tordant mes tétons à m’en faire hurler de… plaisir, alors que mon clitoris se tend comme un arc, petit muscle si sensible que je caresse de haut en bas, le tapotant aussi pour le satisfaire. — Il a raison t’es pas une vraie pute. Une pute ne se caresse pas, ou alors si on lui demande.— Non. J’avoue dans un souffle alors que la jouissance m’envahit. — T’es une bourgeoise. Une bourgeoise qui vient se faire baiser par des ouvriers parce qu’elle aime s’encanailler. Ton mari ne peut pas te satisfaire comme ça, hein ? Il accompagne sa question d’une possession encore plus forte, propulsant sa bite d’un coup de rein rageur. — Oui. Continue.— T’es une vraie salope !— Oui.— Une chaude du cul !— Oui. Chaque affirmation est un plaisir. Chaque mot attise en moi des sensations nouvelles. Baisée, labourée, insultée, tout concourt à un seul but. La jouissance. Après que l’homme a éjecté son foutre, son visage change. ...
... C’est comme s’il devenait un enfant, fragile, que toute femme a envie de prendre dans ses bars et je comprends les putes qui ne s’investissent pas. Mais moi, je ne suis pas une pute, je suis une femme qu’un homme vient de faire jouir au-delà de tout, aussi moi je l’enlace. Nous restons un long moment ainsi. Je sens sa queue faiblir et se retirer. Enfin il se redresse. Il est redevenu un homme. — Excuse-moi si je t’ai insultée, mais c’était plus fort que moi. Gentleman jusqu’au bout. — Moi j’ai bien aimé. Merci pour tout. Avant de partir, il voit son argent sur la table. C’était l’argent pour une passe, pas pour satisfaire le désir d’une bourgeoise nymphomane. Il hésite. Je vais lui rendre. — Non, garde-le ! Tu l’as bien gagné. Si t’en as pas besoin, donne-le à une assos. J’ai dû somnoler un moment, ma montre me dit vingt minutes, qu’on frappe à nouveau. Merde tout l’hôtel va passer me voir. Ils doivent se passer le mot. Pour eux je suis une pute et je peux aligner les passes. Je vais lui dire que j’arrête et qu’il fasse passer l’info. — Oui. La porte s’entrouvre pour me laisser voir un homme d’un certain âge. — On peut entrer ? On ? Mais il n’attend pas, qu’un second pénètre derrière lui. Ils sont deux. Le premier, massif, presque gros et l’autre mince, filiforme, bien plus jeune. — Non, pas deux. Je ne fais pas. Je ne suis pas mécontente de moi, le métier entre bien. Voilà ce que dirait certainement une vraie professionnelle. En plus cela me fait une excuse toute trouvée sans ...