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Un quiproquo qui tombe à propos.
Datte: 21/01/2021, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe attache, confession,
... reins alors qu’il sort et rentre sans retenue. Nos chairs claquent et sous la pression je m’effondre sur le lit, mais il est comme un molosse avec sa queue rivée dans la chienne, il me suit. Je me cambre telle une vraie salope pour qu’il continue. — Oui. Oui. Fort, plus fort. Encule-moi. Si l’homme ne parle pas français, il le comprend et je sens la morsure encore plus forte. Ma jouissance est magnifique et je le sais maintenant est lié à la bestialité de ces relations, liaisons tarifées qui nous rabaissent au primitif. De longues secondes le mâle continue son labeur. La morsure s’est transformée en attouchement sur la nuque, geste de tendresse alors que plus bas mon cul est pistonné comme jamais. Il jouit enfin alors qu’un second orgasme m’envahit. Comme j’aurais voulu sentir sa semence brûlante m’envahir les entrailles. Ils sont partis. Je suis moulue. Heureuse, mais épuisée. Allongée sur le lit, mes pensées vagabondent. Il n’est pas nécessaire d’être une spécialiste pour comprendre que j’ai pété un câble. Mais c’est le câble de la bienséance, de l’éducation, et il a fallu ces amours tarifées, et surtout la rudesse de ces baises pour que je découvre tout au fond de moi, ma sensibilité exacerbée dans ces moments-là. Je devrais avoir honte. Mais pourquoi ? Je n’ai fait du mal à personne, au contraire. On frappe. C’est la quatrième fois, manifestement tout l’hôtel doit savoir. J’ai fermé ma porte à clé. — Non, terminé. Les autres fois cela a suffi, mais il insiste. — NON, ...
... j’ai dit.— Madame Maryse, c’est moi Rachid. Ça va ? Je m’inquiète pour vous, je peux entrer.— J’arrive. Le temps d’enfiler le peignoir et j’ouvre la porte. — Excusez-moi de vous déranger. Il repousse la porte derrière lui. — J’ai entendu des clients discuter. Tout va bien ?— Oui, oui.— Ah, je suis rassuré. On parlait d’une femme, une prostituée qui… Et j’ai eu peur qu’on vous dérange… Mais son regard est fixé sur la corbeille. La corbeille où j’ai jeté les capotes. — Je ne comprends pas. C’est vous… Madame Maryse. Ces hommes… Je suis faite ! Impossible de nier et de paraître offusquée de telles pensées sur moi. Les capotes m’ont trahie. Je ne peux qu’assumer. — Je ne peux pas le cacher. Je suis désolée, mais je voulais me venger de mon mari et les circonstances ont fait que…— Oh !— Croyiez moi que je regrette ce que j’ai fait (menteuse, pensai-je). Je n’aurais pas dû. Mais j’en voulais tellement à Christophe. Aussi je m’inquiète de ma réputation. Je ne vais plus oser me montrer dans la rue. Si j’en rencontrais un ! La honte. J’ai été folle. Je pleure et là ce n’est pas feint, car je viens vraiment de penser à ça. Merde ! C’est un coup à me faire aborder. — Rassurez-vous. Demain ils partent tous. Ils ont terminé leur chantier. J’en reçois d’autres.— C’est vrai ? Oh, merci Rachid, vous me sauvez la vie. Un silence un peu étrange. Il doit avoir la même idée que moi. Les autres partent, mais lui est encore là. Et lui sait. Je n’oserai plus venir avec mon mari. Et si jamais il ne ...