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Un quiproquo qui tombe à propos.
Datte: 21/01/2021, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe attache, confession,
... savait pas se taire et que la rumeur circule dans le quartier, pire dans notre immeuble. — Je peux compter sur votre discrétion.— Bien entendu. Mais je lis dans ses pensées. Pourquoi les autres et pas moi ? Et il ne peut pas se retenir : — Madame Maryse, vous savez combien vous me plaisiez, d’ailleurs votre mari lui-même l’a remarqué et il me taquine avec.— Je sais Rachid. Et je vous en remercie, comme je vous remercie de m’avoir accueillie dans votre hôtel. Je sais que je peux compter sur vous, ne jamais parler à personne de cette nuit. Ce sera notre secret, vous voulez bien. D’ailleurs moi aussi je vous apprécie et si… Je défais ma robe de chambre. Je suis nue devant lui, ses yeux brillent d’enfin me voir comme il rêvait. Je tends la main vers son entrejambe. — Sans vous commander, Madame Maryse, j’ai toujours rêvé que vous me faisiez un strip-tease avant de… Les hommes sont tous des tordus. — Oh, vous avez raison, c’est très coquin… Et la pute que je suis, se rhabille, sous les yeux de cet homme. Mais c’est la bourgeoisie qui fait son numéro pour séduire Rachid pour le rendre muet sur ses débordements sexuels. Un numéro de strip-tease, une première pour moi, et qui se laisse baiser par un admirateur transi, mais en grande forme. La nuit est peuplée de trop de souvenirs, de pensées pour que j’arrive à m’endormir. Cinq heures du matin. En principe je dois reprendre l’avion, mais vraiment je ne me vois pas rendre visite à ma mère après toute cette luxure. Elle serait ...
... capable de remarquer quelque chose. Mais j’ai besoin d’autre chose que d’une douche. Je rentre chez moi. L’appartement est silencieux et je me dirige vers la salle de bain. Le miroir ! Les pensées qui se bousculent, des souvenirs qui reviennent alors que je suis dans mon bain — Ah, tu es là ? C’est mon mari. Je ne l’ai pas entendu arriver. J’ai dû somnoler. — Ça va ? Je vois bien qu’il est inquiet. — Ça dépend !— Tu avais laissé ton sac dans l’entrée. Tu l’avais oublié ?— Non, je l’ai laissé à mon retour.— Ah. Je ne t’ai pas entendu.— Tu ne risquais pas de m’entendre avec ta pouffiasse. Tu les prends au lycée maintenant ?— Ah ! Tu… Je suis désolé.— Tu peux. Il doit s’étonner de mon peu de réactions. — Coucher avec une gamine, cela passe encore, bien que dans mon propre lit, je trouve cela humiliant. Mais t’entendre me traiter de vieille, de frigide et du reste, ça je n’arrive pas à l’encaisser.— Ah ! Et pendant de longues minutes, il cherche des excuses à son infidélité. Mais pour ce qui est du reste, finalement le plus important à mes yeux, c’est-à-dire me rabaisser, chez moi, dans mon lit, avec une gamine, il ne peut que s’excuser, parler de mots malencontreux, emporté par… Heureusement, il s’arrête comprenant que le « emporté par » signifie par la « baise ». — Mais tu étais où ? Un signe de tête dans la direction de la rue suffit à lui faire comprendre. — Tu as dormi en face ?— Oui.— Mais il ne fait pas seulement des chambres au mois pour les ouvriers du chantier ?— Si, mais il ...