1. Un quiproquo qui tombe à propos.


    Datte: 21/01/2021, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe attache, confession,

    ... vaux pas tant que cela sur le marché des putes.— Je ne comprends pas, alors d’où vient cet argent ?— Tu peux imaginer mon état d’esprit en quittant l’appartement, te laissant avec ta pouffiasse que tu baisais dans notre chambre. Le patron a été très sympa, mais contrairement à ce que tu penses il s’est très bien comporté. Il m’a donné une chambre. Une chambre qui donnait sur la rue, au troisième, quasiment juste en face de la fenêtre de la pièce où tu baisais. Le rideau était tiré, mais vous aviez laissé la lumière et je pouvais voir des ombres. Oh rien d’assez précis, mais moi je savais, j’imaginais. J’étais en rage, furieuse, bafouée. Alors quand un homme en sortant de la douche m’a proposé de l’argent pour une pipe, j’ai accepté.— Quoi ?— Oui. Parfaitement, dis-je en élevant le ton. Pas pour l’argent bien sûr, mais par vengeance. Mon seul regret, c’est que tu ne pouvais pas me voir.— Ah !— Mais, l’homme avait des copains et comme ils m’ont prise pour une pute, ils sont venus après.— Quoi, tu veux dire que…— Parfaitement j’ai fait la pute. On m’a payé pour coucher. Je ne dirai pas combien, sauf que le patron est monté lorsque la rumeur lui est parvenue.— Alors lui aussi.— Oui, lui aussi, mais je ne l’ai pas fait payer.— Ah !— Et c’était décevant. Tu peux comprendre cela ? Non pas qu’il n’était pas bien monté ou pas en forme, mais il était trop intimidé et m’a fait l’amour comme un mari à sa femme.— Épargne-moi les détails.— Oh, mais si je vais te donner les détails. Tous ...
    ... les détails. Parce que comme dit l’adage : « Le diable est dans les détails ». Je vais te dire, cette nuit j’ai eu les plus beaux orgasmes de ma vie. Tu vois et en plus je n’ai pas honte de l’avouer. J’ai été une pute pas comme les autres. On dit que les putes ne jouissent pas. Mais moi, si. Pourquoi d’après toi ?— Maryse, tu n’es pas bien. On a dû te faire boire ou te droguer pour que tu parles ainsi.— Même pas. Au début ma motivation était la vengeance, mais très vite j’ai découvert le plaisir. Et tu sais pourquoi ?— Vraiment, chérie, s’il te plaît. Arrête de me torturer.— Parce que ces hommes baisaient une pute et pas leur femme. Et avec une pute on ne se gêne pas. On exige beaucoup plus d’elle. Si elle te pompe, elle doit tout gober. Si tu l’enfiles…— Oh, ces mots.— Hypocrite ! Je t’ai entendu dire hier à ta pouffiasse que tu allais l’enculer profond et lui inonder le cul.— Ce n’est pas pareil.— Justement je revendique l’égalité et j’en ai marre que tu me considères comme une femme fragile. Si ces hommes m’ont tant fait jouir, c’est parce qu’ils exigeaient de moi que je me comporte en pute, qu’ils me baisaient sans délicatesse, brutalement, ne pensaient qu’à leur plaisir. Et paradoxalement c’est leur façon de faire qui m’a amenée à tant d’orgasmes. Il ne dit rien. Je suis étonnée par son manque de réaction. On dirait qu’il est plus choqué par mon langage que par ce que je lui révèle. Pourtant quel homme ne serait pas choqué par de tels aveux ? Ou alors il ne me croit pas ! ...
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