1. Un quiproquo qui tombe à propos.


    Datte: 21/01/2021, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe attache, confession,

    ... m’a quand même dépannée.— Il n’a pas été surpris de te voir et surtout de vouloir une chambre ?— Je lui ai expliqué.— Tu lui as dit ?— Mais oui. Il a été très compréhensif.— Je vois. Et personne ne t’a importunée ? Si je me souviens bien, les toilettes et les douches sont sur le palier.— Ils ont été étonnés de voir une femme, mais on ne peut pas dire qu’ils m’aient vraiment dérangé. Je souris à ma rencontre avec ce jeune dans la douche. — Pourquoi tu souris ?— C’est parce qu’ils m’ont pris pour une pute.— Tu vois, ce sont des hommes sans femme, soit ils travaillent loin de leur famille, soit leur femme est au pays. Et quand tu leur as dit que tu n’en étais pas une, ils ne t’ont plus dérangée ? Je souris encore. — Mais qu’est-ce qu’il y a de drôle ?— Eux ne me trouvaient pas trop vieille.— Je me suis excusé. Tu ne vas pas en faire un fromage.— Non, non. Et pourtant j’ajoute : « Ni vieille, ni frigide ». — Maryse, je t’en prie. Et puis il semble vraiment remarquer le « frigide ». — Pourquoi « frigide ». Tu en as parlé avec quelqu’un ? J’hésite à peine. — Regarde dans mon sac à main. Je l’ai laissé dans l’entrée. Il part. J’en profite pour sortir de mon bain et commence à m’essuyer. Il revient, intrigué, avec une poignée de billets à la main. — Tu as retiré de l’argent ?— Non, les distributeurs ne donnent que des billets neufs. Tu vois bien que ceux-ci sont froissés. Ils ont vécu. Ils sont passés de main en main. Et pour finir de la main d’un homme à la mienne.— Je ne ...
    ... comprends rien à ce que tu me dis.— Ouh ! Ouh ! Chéri il faut penser avec autre chose que tes couilles.— Tu n’as jamais parlé si crûment.— Il va falloir t’y faire. Cette nuit a tout changé.— Mais qu’est-ce qui a pu… Je peux voir sur son visage le chemin de ses pensées. Il me regarde, regarde l’argent qu’il tient toujours en main. — Ne me dit pas que tu…— Mais je t’en prie mon chéri, tu peux le dire…— Que tu as couché avec un homme ? Le patron, cela ne m’étonnerait pas, le salaud, il n’arrête pas de te reluquer quand on va chez lui.— Comment, un homme me trouve assez belle pour me regarder. Moi, ta femme, vieille, frigide, sans envies ?— Réponds-moi.— Eh bien c’est oui. Il encaisse le coup, mais vois bien que quelque chose cloche. — Et il t’a payée ? Il compte du regard. — Tant que cela ?— Eh oui, mon chéri, ton épouse est appréciée. Il faut dire que je n’ai rien refusé. Tu sais tout ce que je te refuse, enfin ce que tu dis à ta pouffiasse pour qu’elle te plaigne et se laisse baiser. Tu vois, ça aussi m’a blessée. Tu sais très bien que je ne te refusais rien et que j’ai cédé au fil du temps à toutes tes envies.— Je ne t’ai pas forcée.— Non, je le reconnais. Tu vois, moi je suis sincère et je sais avouer que cela me donnait du plaisir.— Donc ce mec t’a donné tout ce fric pour une nuit. Et bien !— Qu’est-ce qui te choque le plus ? Le fait que j’ai couché avec un homme ? Le fait que je l’ai fait payer ? Ou le fait que j’en ai obtenu tant d’argent ? Il ne répond pas. — Rassure-toi, je ne ...
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