1. Un quiproquo qui tombe à propos.


    Datte: 21/01/2021, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe attache, confession,

    ... Il me provoque d’un sourire moqueur. — Cela dépend si vous voulez en gorge profonde ou pas. Et s’il faut avaler, il m’en faut 50 de plus. Ma réplique le surprend. Moi aussi j’ai parlé pour le provoquer. — C’est cher.— Alors, demandez à votre femme.— Bon d’accord. Payable après.— Ce n’est pas l’usage, mais si vous devenez un client régulier… En parlant, je me baisse pour tirer sur son boxer, mais aussitôt il me prend le bras. — Non, pas comme ça. J’en veux pour mon argent. Viens. Je m’attends à ce qu’il m’entraîne dans notre chambre, mais nous continuons dans le couloir pour arriver devant une chambre où nous stockons des meubles et objets divers. Il me pousse après avoir ouvert la porte. — Couche-toi sur le lit. C’est un vieux lit métal avec des décorations en fer forgé, souvenir de famille. Je m’y installe pendant qu’il farfouille dans un tiroir. Il en extrait des cordes et pendant de longues minutes il m’installe en m’immobilisant les bras puis les jambes en les reliant aux barreaux métalliques. Il ne dit mot et je commence à m’inquiéter. Attachée ainsi je ne pourrais pas me défendre s’il avait l’idée de… Oh, mon Dieu, il n’a peut-être pas supporté ce que je viens de lui dire. C’est peut-être un choc trop rude pour lui. Il faut reconnaître que retrouver sa femme dans ces conditions aurait de quoi interpeller n’importe quel mari. — Chris, tu ne vas pas…— Tais-toi salope. J’ai payé, je fais ce que je veux. Sa voix n’est pas hostile, mais surtout ce qui me rassure, c’est ...
    ... qu’il baisse son boxer et que j’ai le temps de voir son sexe qui n’est pas un sexe au repos, même si je l’ai déjà vu en meilleur forme. — Suce-moi, putain. Je n’ai que le temps de comprendre que déjà son gland force mes lèvres. La bite est encore souple alors qu’il me possède. Il reste calé et j’étouffe. J’étouffe et je sens la bite durcir et grandir au point que ne n’arrive plus à me contrôler. Le peu de mouvements que me laissent mes liens me permet de faire comprendre que c’est trop. Même une pute professionnelle de la fellation, gorge profonde des abysses, ne pourrait pas. Mais il ne me laisse que le temps de reprendre mon souffle. Il revient. Il revient et revient. Encore et encore. Je pleure, je tousse, je libère des litres de salive qui m’aveuglent, mais il n’en tient pas compte. Je suis sa chose. Il a payé. Il a le droit de faire de moi ce qu’il veut aux conditions de ne pas dépasser certaines limites. — Salope. Pute. Gouffre à bites. Traînée… Tu la sens ma queue ? Que cette musique est douce. Il me laboure. Il m’insulte. Mes seins sont ballottés sous ses claques. Mes tétons hurlent de se faire tordre. Mais que c’est bon.Allez va, mon chéri, baise ta femme, cette femme nouvelle, pute révélée par d’autres que toi. Je suis sûre que dans ta tête tu vois tous ces hommes qui m’ont utilisée à leur guise, en échange de quelques billets. Mais il jouit. C’est le matin et mes souvenirs me disent que la baise du matin est plus rapide, car l’homme bande déjà. Le flot est généreux. Il ...