1. Un quiproquo qui tombe à propos.


    Datte: 21/01/2021, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, facial, Oral préservati, pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe attache, confession,

    ... m’inonde. Pourtant il se retire un peu pour me laisser respirer. Client, mais aussi mari. Un mari qui aurait du mal à expliquer la mort de son épouse, étouffée par du foutre et une bite trop impétueuse. J’ai la bouche pleine de sa liqueur. En temps normal, c’est-à-dire lorsqu’en tant qu’épouse je le suçais, je m’arrangeais toujours pour ne pas avaler son foutre. — Avale. Salope. J’ai payé. Oui, il a payé et je sais, enfin j’espère qu’il prend ses précautions avec ses maîtresses, que je peux sans risque. Et je déglutis. Je bois mon jus d’orange du matin. Un jus naturel dont les propriétés ne sont pas contestées ? Je m’en fous. Ce n’est pas terrible comme goût, mais une pute ne peut pas faire la fine bouche. L’argent permet tout. Oh que oui, cet argent est synonyme de soumission au désir de l’autre. Et si moi, je payais mon mari pour lui demander de faire… ! J’ai plein d’idées. Décidément je suis une vraie salope. Ces hommes cette nuit m’ont libérée de la gangue qui me contraignait. Mais mon client n’en a pas fini avec moi. Il fait le tour du lit. À travers mes cils collés par la salive je le vois me regarder un instant. Je ne dois pas cacher grand-chose alors que les cordes me forcent les cuisses grandes ouvertes. Il doit penser à ces hommes qui m’ont prise tout à l’heure. Avec le temps je lui dirai, combien et comment. Oui, je lui distillerai les informations, la position, la couleur de leur peau, la taille et la forme de leur bite et combien j’ai joui sous leurs assauts. ...
    ... Et même je vais en rajouter me transformant en Schéhérazade de bordel. Il me caresse. Ce n’est pas un client pressé, mais un mari délicat. Je peux lui reprocher beaucoup de choses, mais Christophe est un bon amant, toujours à mon écoute. Enfin je veux dire avant. Avant que je ne sois perturbée par mes hormones et que je le repousse quelquefois. Il n’oubliait jamais les préliminaires pour m’exciter et nous mettre en forme. Mais c’était avant et très vite il m’avait oubliée pour retrouver ses maîtresses. Je sens qu’il me pénètre d’un doigt, de deux. — Mais c’est vrai que t’es une salope, tu es tout humide. Quelle pute tu fais. Je le devine se pencher et aussitôt je sens sa queue manifestement encore raide forcer le passage de mes lèvres. Il entre d’un coup. Je crie sous la puissance de la possession. — Oui, crie. Tu vas voir. Je vais te bourrer. Tu vas voir ce que c’est un homme un vrai… T’aimes ça, putain. Si j’ai appris une chose cette nuit c’est bien la puissance des mots, autant pour celui qui les prononce que celui qui les entend. — Oui, montre-moi. Mais cela va te coûter bien plus cher. Ton ardoise s’allonge. À moins que… Oui, comme ça. Continue… Je te ferai peut-être une remise… Christophe a glissé ses cuisses sous les miennes, et les liens me tirent encore plus fort. Je sens la pression sur mes chevilles, mais étrangement cette douleur participe à mes sensations. Je pense à cet homme qui m’a mordu la nuque alors qu’il me baisait. La morsure avait été une surprise, le ...