1. Les j ours heureux


    Datte: 25/10/2017, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    Les beaux jours nous jettent sur les routes. Je n'allais pas bien loin. J'imposais ma carcasse à des amis qui volontiers invitaient. Mon corps sortait de cet hiver et paraissait pataud. Les premiers rayons du soleil nous caressaient avec ironie. La blancheur de ma peau paraissait tel une insulte. Nous réapprenions des gestes. La grande nappe était jetée sur l'herbe. Verte, celle-ci était piétinée par les mammifères que nous étions. L'apéro embuait cela d'un filtre rose. Nous renaissions heureux parmi les autres. Cette journée serait considérée sûrement comme délicieuse.Nous étions ce jour-là une dizaine. Il y avait quatre couples. Le copain avait cru bon y adjoindre une célibataire, amie et collègue qu'il voulait manifestement me jeter dans les bras. Je goûtais moyennement son zèle marieur et mesurais cependant ce jeu provocateur. Bref je pris la chose en bonne part puisque la miss était mignonne bien qu'incurablement sotte ce qui sur le long terme est rédhibitoire. Le plan de table immanquablement nous colla. Je lorgnais son décolleté en même que les verres se vidaient. Je renonçais fort vite au raffinement de la conversation.Mon regard invariablement allait à une autre personne à l'autre bout de la table. Une brune laquelle m'avait échappé flanqué de son costaud de mari. Elle ne trahissait pas une beauté manifeste. Elle ne n'en attirait pas moins par un magnétisme sensuel propre à certaines femmes. Un trouble me traversa lorsque la première fois son regard embrasa le mien. ...
    ... Je guettais bientôt chaque geste. Tout à mesure me ravissait en elle. Tant sa crinière noire que ses jeux de mains et de jambes qu'elle avait magnifiques. Le pote me confirma que la créature était redoutable. Nombre s'y était cassé les dents.Elle devina mon embarras quant à la sotte dont on m'avait flanqué. Elle le témoigna par d'indicibles sourires. Ainsi s'installa entre nous une sorte de connivence. Il se trouva qu’elle était une amie et collègue de ladite idiote. Bref après qu'il fut décidé que nous sortîmes chaises et tables dans le jardin, elle vint vers nous ou du moins de l'idiote. Cette dernière fit les présentations. Ma brune se prénommait Magalie. A peu de pas de moi le charme eût pu être rompu. Quelques défauts infligés au regard en pouvant être cause. Au contraire mon enthousiasme fut renforcé.Devais-je au seul soleil d'avril cette chaleur qui du coup m'envahit. Plus grave une indéfectible érection me barra le haut du futal. J'eus peur qu'elle repérât ce détail ainsi que l'autre femelle. Depuis longtemps une femme ne m'avait suscité un tel effet. A présent elle était retournée vers son conjoint. Cuisses croisées sur une chaise elle imprimait un petit balancement à son escarpin. Je vis que ce rite du pied en excitaient d’autres que moi. En effet une pécore à côté rabrouait son mari de trop mater la brune. Fusa même l'insulte de salope. Les autres femmes ainsi la détestaient.J’affectais de draguer mon idiote tant pour donner le change que pour agacer secrètement ma ...
«123»