1. Les j ours heureux


    Datte: 25/10/2017, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... brune. Je voyais bien que celle-ci considérait de loin le cheminement de ma drague. Elle devait trouver inconséquent que je ne m’attachas qu'à des formes et négligeât l'absence d'esprit de la personne. Je ne valais pas mieux que les autres : bas de plafond et entiché de cul. N'empêche aurais-je pu lui rétorquer que mon intérêt pour elle n'était pas moins physique et bestial bien que je ne mis en doute sa potentialité intellectuelle. Je n'avais d'yeux ainsi que pour ses jambes et son cul.Il advint que nous rejoignîmes la brune avec son mari. Cela papotait politique. L'alcool avait échauffé les esprits. Je perçus que ce sujet répugnait manifestement à la brune Elle tirait nerveusement sur sa clope. Son dangling était d'autant frénétique. Ostensiblement tournait-elle la tête vers l'extérieur du groupe. Le prétexte en étant que la fumée de la cigarette pouvait les déranger. Je pensais plutôt qu'elle voulait nous écraser de son mépris. A quelque pas derrière je pouvais impunément admirer ses cuisses offertes par une jupe courte. Je bandais plus que jamais.Elle n'en jetait pas moins des fois un œil derrière. De plus en plus soutenait-elle mon regard. L'alcool m'avait quelque peu enhardi. Je lui signifiais clairement qu'elle me plaisait voire que je voulais la sauter et que son mari n'était pour moi que denrée négligeable. L'amusant est que ce dernier me trouvait sympathique. Nous avions en commun un goût pour le jazz et une passion pour un même club de foot. Je voyais le point où ...
    ... il allait m'inviter à passer un jour chez lui. Je méditais qu'il avait une tête idéale de cocu. J'étais sûre de tromper impunément sa confiance.Ma brune ne voyait pas de toute façon d 'un bon œil que je sympathisas avec son mec. Je devais continuer à déchoir en son esprit. Peut-être étais-je en train de compromettre mes dernières chances.Un moment lui adressais-je des paroles hasardant ce propos : « J'ai l'impression que vous vous embêtez. » Elle sourit sardoniquement répondant. « Comment avez-vous deviné ? » J'embrayais : « Je devine les jolies femmes. » Elle marqua un long silence qui signifiait peut-être sa lassitude à donner une suite à notre échange. Peu après elle écarta ses cuisses. Sa culotte était rose.Le geste était osé. La garce s'était assuré que je pus être le seul à jouir de ce spectacle. Elle demeura longtemps ainsi cuisses écartées afin que je pus me repaître convenablement de cela. Tâchant de ne pas exprimer une trop grande fixité du regard qui put me trahir je n'en découvris pas moins que la culotte était assez transparente pour me déceler à la fois une chatte assez lisse et le reliquat de rares poils pubiens. C'était obscène et cochon au sens propre. L'érection en était à un point douloureuse.Son visage était maintenant barré d'un sourire des plus explicites. Elle m’adressait un signal fort.Hélas quelqu'un eût la grave idée qu’une telle soirée devait être ponctuée de musique et de danse, rite que j’abhorrais. Bientôt de vagues mammifères s'ébrouèrent sur la ...