Salon à Paris (Épisode 1) - Histoires de Sexe

Salon à Paris (Épisode 1)

... humide. Si Fred ne travaillait pas cet après-midi, je crois que je lui aurais suggéré un passage à l’hôtel. *** Laurent n’a pas arrêté d’être charmeur avec Emma. Difficile de rester indifférent quand elle est ainsi. Emma était très sensuelle. Elle croisait et décroisait ses jambes, signe d’un léger trouble Vers la fin du repas, ces tétons pointaient. Cela se voyait nettement pour nous qui étions juste en face. Une chose était certaine, Laurent n’était pas resté indifférent et ses yeux n’avait rien perdu de ce qui s’offrait à sa vue. Avec discrétion certes, mais je doute qu’Emma n’ait rien remarqué. Le repas s’achève et Emma nous laisse à nos affaires. L’après-midi va être court. Nous avons prévu de nous retrouver à 17 heures. *** Avant d’aller dîner, nous avons fait l’amour dans la chambre. J’en avais très envie et Fred, toujours pas remis de ses émotions du midi, aussi. Fred n’a pu s’empêcher de fantasmer et d’inviter Laurent dans son histoire. J’ai joué le jeu et dois reconnaître que cela m’a beaucoup excitée. Quand Fred m’a prise par derrière, je me suis laissée aller à imaginer que je m’étais mise à quatre pattes devant Laurent pour qu’il vienne me pénétrer au plus profond, me donner de grands coups de reins jusqu’à ce que je le sente jouir en moi. Ma chatte était trempée tant je mouillais abondamment. Pendant que je me faisais prendre, les fesses bien cambrées pour ne rien perdre de sa queue, je malaxais ses couilles contre ma chatte. J’ouvrais en même temps la bouche ...

... en sortant la langue comme si je léchais le sexe de Fred, attendant qu’il m’envoie de bonnes giclées de son sperme dont une, viendrait se perdre sur ma langue et dans ma bouche. Cela a décuplé mon excitation et mon plaisir Quand Fred a joui, j’en aurais voulu encore, tellement c’était bon. *** Nous avons fait l’amour passionnément avec Emma. C’était même un peu court. J’aurais aimé poursuivre mes caresses, l’embrasser, m’occuper délicatement de son clitoris avec ma langue, prendre tout le temps pour que son plaisir revienne et qu’elle reparte dans de nouveaux orgasmes. Emma considérait qu’un câlin était terminé avec la jouissance de chacun. L’orgasme doit-il signer la fin de l’acte ? Faut-il le considérer comme un objectif ou bien simplement comme le moment le plus intense en termes de plaisir, ce qui ne doit en rien empêcher de poursuivre le partage de moments intimes. Cette évolution viendrait avec le temps. Pour cette première soirée, je décidai d’amener Emma dîner dans un restaurant indien. Emma était ravissante et radieuse. Pendant le dîner, elle me promit une petite surprise sans m’en dire plus. Nous sommes sortis vers 21 h 30. Emma me proposa de marcher un peu. Nous avons remonté le boulevard de Clichy. Les rues étaient animées, bondées de touristes venus à la fois pour Montmartre et pour les sex-shops. Beaucoup avaient évolués et n’avaient plus rien de boutiques sordides derrière un rideau. Ils s’étaient transformés en magasins modernes où tout le monde entrait et ...