1. Xavier est démasqué


    Datte: 25/10/2017, Catégories: hh, hbi, hépilé, ascenseur, hsoumis,

    Le chantier était terminé ; Ricardo et Pierre refusèrent de venir prendre un verre, prétextant qu’ils avaient hâte de retrouver leur chérie respective. Ce que nous avions connu ensemble ce mardi ne fut plus abordé. On parlait chantier, délais à tenir, ils m’appelaient toujours « Monsieur Xavier ». J’aurais pourtant voulu qu’ils recommencent et quand je les ai vus partir, je m’installai seul dans le canapé, essayant de reproduire les sensations qu’ils avaient mis à jour. Mais la plupart du temps, j’étais frustré, je terminais par une branlette solitaire d’adolescent. Il me resta de cette expérience le goût de ma peau, je la voulais toujours plus lisse, faisant la chasse à chaque poil indésirable. Louise vint me rejoindre le samedi ; était-ce mon sexe rasé qui l’excitait mais pendant tout le week-end nous fîmes l’amour. Jamais je ne l’avais connue comme ça. Était-ce aussi la découverte de ma féminité, je cherchais à la satisfaire comme Pierre m’avait satisfait. Je la léchais, m’attardant sur son petit trou, la première fois, elle regimba et puis y prenant plaisir, c’est elle qui m’amenait à le lui lécher. Elle adorait mais refusait de se laisser sodomiser. Puis elle prit l’initiative au cours d’un 69, à me lécher le cul…je retrouvais les sensations provoquées par Pierre et Ricardo, elle osa même introduire un doigt qu’elle retira aussitôt croyant m’avoir blessé. Une nouvelle vie (sexuelle) commençait. J’aurais aimé que les journées soient plus longues, mais elle devait ...
    ... impérativement être à son bureau le lundi matin. C’est donc avec regret que nous reprîmes la route le dimanche après-midi. Les autres proprios allaient arriver, ils pourraient profiter de leurs vacances dans un cadre rénové. Lundi 7 h 45, comme à l’accoutumée, l’ascenseur est bondé de monde, costume cravate comme l’exige le règlement. Je me fraie un chemin et me tourne vers la porte de l’ascenseur. On est serré, compressé…comme j’étais bien hier. Était-ce la promiscuité, l’expérience de la résidence, je sentais le devant d’un pantalon contre mes fesses. Au lieu de m’en éloigner, je le cherchais, à chaque arrêt, je m’appuyais un peu plus contre lui, ce qu’il contenait prenait à chaque fois des proportions plus importantes . Au cours d’un arrêt, je me tourne et je vois l’homme, beau gosse, la trentaine, jeune cadre dynamique qui apparemment prend plaisir à cette situation. Il me sourit, ses dents sont d’un blanc éclatant. Comme l’ascenseur repart, il se presse davantage contre moi. Je sens son sexe durci, il ébauche un mouvement qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. Je me retrouve projeté une semaine plus tôt, les mains de Ricardo, le sexe de Pierre. Ma féminité reprend le dessus. Je pointe mes fesses en arrière, il n’y a plus rien d’équivoque, il me veut, je le veux. 15ème étage, je descends, il descend. Au lieu de me diriger directement dans mon bureau, je passe par les toilettes. Il me suit. Nous sommes l’un à côté de l’autre face à l’urinoir. Il me regarde sans vergogne, je ...
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