Xavier est démasqué
Datte: 25/10/2017,
Catégories:
hh,
hbi,
hépilé,
ascenseur,
hsoumis,
... suis gêné mais j’attends la suite avec impatience. La femme refait surface. « Vous vous rasez le sexe ? » Sa remarque est sans appel, je suis aussi électrisé qu’avec Ricardo quand il a posé ses mains sur mes seins. « Oui…. » ( ma voix n’avait plus rien à voir avec celle du cadre qui allait entrer dans son bureau pour intimer des ordres à ses subordonnés.) « Rejoins-moi à côté ». Il se dirige vers une cabine, laissant la porte ouverte. Rentrant ma bite, je ne peux que le rejoindre. « Déshabille-toi ! » « Ici ? » « Ouvre ta chemise, baisse ton pantalon, je veux te voir nu ! » Je vérifie que la porte est bien fermée, puis je desserre ma cravate, ouvre ma chemise et baisse pantalon et slip, je suis nu devant lui. Ses mains se portent sur mon corps, il est caressant et me fait retrouver les sensations que j’avais eues avec Ricardo, ils s’attardent sur mes seins, les compriment et prennent possession de tétons érigés. Il les presse, les tourne, semble vouloir les arracher, mais ce ne sont que des râles de plaisir qu’il arrache. Le bas de mon corps commence à onduler. Je suis redevenu femme. « Suce-moi » dit-il en m’empoignant la nuque et en la dirigeant vers le sexe qu’il a sorti. Celui-ci se dresse fièrement. Il est aussi gros que celui de Ricardo et je reprends les vieux réflexes de succion. « T’es une bonne suceuse, continue » Ma bouche s’active sur son sexe, j’oublie la situation dans laquelle je me trouve, je m’abandonne complètement. Je ne cherche que son plaisir et le mien. ...
... Mon cerveau s’affole du frottement de son gland sur mon palais. Mon corps réclame, il faut qu’il me prenne. Je me retourne, saisissant mes deux globes. « Prenez-moi, j’ai trop envie, prenez-moi comme une chienne que je suis, j’en ai trop envie » Sans autre cérémonie, il s’enfonce en moi m’obligeant à pousser un cri. Il n’a pas préparé son outil comme le conseillait Ricardo. Mon cul s’enflamme, il pousse son sexe au plus profond de moi. Rapidement je mouille comme une salope, c’est trop bon, j’attends ça depuis mardi, je suis devenu une vraie nympho. Pourrais-je encore baiser comme un homme. Tous mes sens sont concentrés sur le plaisir que cet inconnu me donne. Encore quelques va-et-vient et il se répand au fond de mes entrailles. Je jouis…c’est trop bon. Je me rajuste, sors le premier, me dirige vers le lavabo où je me passe un coup d’eau fraîche sur le visage avant de me retrouver dans mon bureau. C’était trop bon, comment vais-je assumer cette bisexualité ? 20 heures lorsque j’arrive à la maison. Louise a dressé la table. Tiens, un troisième couvert, elle a invité quelqu’un ? Je lui pose la question et me répond : « Un collègue qui vient d’avoir une promotion, il apporte le champagne. C’est sans chichis, tu peux te mettre à l’aise » Ça ne lui ressemble pas, mais soit…. Je pars vers la salle de bain et après une douche, j’enfile un jogging sans prendre le soin de mettre un slip. Je m’installe au salon en attendant notre invité. 20 h 30, on sonne, Louise va ouvrir et revient ...