1. Mes cousines... et moi ! (1)


    Datte: 24/01/2021, Catégories: h, fffh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, bain, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, jeu, init,

    Introduction (de l’histoire) Mais histoire sans introduction (pour l’instant) Mes cousines et moi, c’est une longue histoire. Depuis notre petite enfance, mes cousines et moi, avons passé toutes nos vacances ensemble. Martine, Evelyne et Marie-France sont les filles des frères de mon père et des sœurs de ma mère ; quatre frères avaient, et ce n’est pas banal, épousé quatre sœurs. Je suis le seul garçon de la famille. Nos parents sont originaires d’un petit village où nos grands-parents paternels exploitaient une belle ferme. Nous passions donc toutes nos vacances, parents, oncles, tantes et bien sûr cousines, dans ce coin paisible. Un grande et vieille bâtisse permettait de loger tout le monde dans un confort rudimentaire mais suffisant. Au début, il n’y avait pas de salle de bains et on nous lavait, dans la cour, dans un grand baquet en bois dans lequel on nous avait installés tous les quatre, ravis de nous éclabousser. Et c’est dans ce baquet plein d’eau qu’est née cette envie d’être ensemble, cette envie d’être bien ensemble. Nous étions, et ça n’est pas banal non plus, mes cousines et moi, nés la même année, ce qui avait contribué à souder notre famille. Nos baptêmes avaient eu lieu le même jour et les diverses fêtes des uns et des autres rassemblaient toute la tribu. Les années passaient et nous nous retrouvions toujours avec autant de bonheur. Les premiers poils depuis longtemps apparus, les poitrines formées ; nos corps avaient changé. L’enfance et ses insouciances ...
    ... s’étaient envolée. Nous étions devenus de grands ados. Et vint un moment où le baquet fut décidément trop petit. Nous l’avons utilisé très tard, au grand désespoir de nos parents qui râlaient : — Vous êtes de vrais gosses ! Eau ou pas dans le baquet, ce que nous recherchions dans celui-ci, c’était le prétexte de nous y retrouver tous les quatre, toujours aussi nus, recherchant le contact des uns et des autres. Nous avions compris depuis longtemps que ce que nous y faisions n’avait rien à voir avec la toilette. Nous y recherchions simplement la promiscuité de nos corps. * * * * * Les étés toujours chauds, la petite rivière où il faisait bon se baigner rythmaient nos vacances. Nous y allions seuls, nos parents n’aimant pas la baignade. Personne d’autre que nous ne fréquentait cet endroit puisque la portion de rivière où nous nous baignions traversait la propriété de grand-père. Donc, nous vivions nus, des après-midi entières, sur la plage et surtout dans l’eau où nos corps se serraient, se frottaient, luttaient dans une belle pagaille. Nous aimions cette ambiance. Et, lorsque nous étions fatigués nous nous allongions sur l’herbe, dormant ou sommeillant. Et c’est là, à cette époque, que je connus la première extase qui ne fut provoquée par ma propre main. En effet, sortant de l’eau après une bataille avec les trois filles, je me trouvais affublé d’une belle érection que, bien sûr elle remarquèrent, feignant de ne rien voir. Tout disparut rapidement. Allongés tous les quatre, je ne ...
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