1. Mes cousines... et moi ! (1)


    Datte: 24/01/2021, Catégories: h, fffh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, bain, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, jeu, init,

    ... revenir au bord de notre petite rivière où nos jeux aquatiques devenaient plus fréquents. Dans l’eau, debout, avec trois filles autour de moi qui prenaient du plaisir à me toucher pour m’amener à une extrême bandaison, c’était le paradis. Et là, tantôt l’une, tantôt l’autre, se plaçait face à moi, plantant son regard dans le mien, me saisissait le sexe et le caressait pour m’amener à l’explosion ne quittant pas mon regard, surveillant la montée du plaisir qui se dispersait dans l’eau. Et ceci sous le regard attentif des deux autres qui auraient voulu être à la place de celle qui me masturbait. J’aurais voulu que l’été n’eût pas de fin. Allongés sur la plage mes mains s’égaraient sur le corps de mes cousines, palpant leur poitrine, glissant entre leurs cuisses qu’elles gardaient serrées, j’étais un peu frustré. J’aurais aimé explorer ces parties qu’elles m’interdisaient de toucher. Mais elles me permettaient de regarder, écartant volontiers les jambes si je leur promettais de ne pas toucher. J’étais bien obligé d’obéir, car elles étaient très solidaires. Lors de ces visites visuelles, si elles succédaient à nos jeux décrits plus haut, je remarquais une humidité inhabituelle qui semblait s’écouler de leur fente. J’en fis la remarque à Marie-France qui me demanda de m’approcher si je promettais de ne pas toucher, ce que je fis bien évidemment. Je me mis à genoux, approchant mon visage de son entrejambe, m’approchant à quelques centimètres. Une odeur, acre et poivrée, me parvint ...
    ... et je compris qu’elle provenait de cette humidité. Je compris aussi que je chercherais toujours à la retrouver. Elle glissa alors un doigt dans cette fente que je ne me lassais pas de regarder et me demanda ensuite d’ouvrir la bouche où elle l’introduisit. J’avais subitement très chaud aux oreilles, mais le jeu était fini et nous devions rentrer. La première éjaculation provoquée par les trois chipies ne m’empêchait pas de pratiquer frénétiquement la masturbation. La séance que je venais de subir m’avait bien préparé à la prochaine. * * * * * Nous passions des heures, les filles et moi, à parler de tout et de rien. Tellement que mes parents étaient inquiets de voir que je n’avais pas de copains ni de petites copines. Ils avaient peur que la fréquentation de mes cousines, du fait que je semblais y prendre du plaisir, me prédispose à me féminiser. S’ils avaient su ! Nous parlions de tout et mes cousines même si elles avaient le même âge que moi, étaient incontestablement plus éveillées. Elles se (et me) racontaient leurs histoires de petits copains dans leurs villes respectives. Je sus rapidement que ce qu’elles me faisaient, elles le faisaient également, chacune de son côté, à d’autres garçons. J’en fus fort dépité. Lors de ces conversations, je posais beaucoup de questions et elles voulaient bien y répondre. Elles m’expliquaient comment était constitué leur sexe, l’une d’entre elles s’allongeant, jambes écartées, me montrant ce que je ne soupçonnais même pas, les lèvres, le ...