1. La caméra espion 9


    Datte: 25/01/2021, Catégories: Dans la zone rouge,

    Après m’avoir asséné cette dernière gifle en m’avouant qu’elle trouvait un plaisir à me faire cocu à mon insu, Chantal a repris sa narration. « A peine fermée la porte de son appartement, j’ai voulu lui sauter dessus tellement j’étais en manque. Je voulais retrouver cette queue qui m’avait tant fait jouir les mois passés. Car, malgré tous tes efforts, je n’avais pas réussi à l’oublier. Il m’arrivait souvent de jouir dans tes bras en imaginant que c’était lui qui me baisait ». Là, j’avoue que j’ai du mal à ne pas la frapper tellement cette phrase me fait mal. Seulement ce n’est pas dans ma culture de frapper une femme. En parlant de frapper, moi suis KO debout (allongé dans le lit !). Il me faut quelques secondes pour récupérer durant lesquelles je sens son regard sur moi. Cette fois j’y vois une once de peur. Peur peut-être d’être allée trop loin. - C’est dur d’apprendre ça ! Je n’aurais jamais pu imaginer une telle perfidie de ta part, lui dis-je, la vois tremblante. Après ton aventure avec Jacques et Philippe, j’étais persuadé d’avoir retrouvé cette femme que j’ai épousée, cette jeune femme joyeuse de m’aimer et avec qui je m’étais juré de vivre toute une vie. Tu me le laissais bien croire, j’étais de nouveau heureux de voir notre couple renaître. Mais continue, n’oublie rien, je veux tout savoir. Après un silence lourd de sous-entendus, elle se décide à reprendre son récit. Je lui ai maintenu la main sur ma queue alors qu’elle voulait arrêter de me caresser. Ce geste, la ...
    ... salope, elle l’interprète immédiatement comme l’absolution de ses péchés. « Dans le couloir, il m’a plaquée contre le mur, il n’a eu qu’à écarter les pans de ma jupe portefeuille pour atteindre mon minou tout mouillé. » Elle s’arrête ! Je la sens hésiter à continuer. Elle a perdu un peu de sa superbe. - Non, non continue. Il a fait quoi ? - Il a enfoncé son majeur dans ma chatte. - … et puis ? - Il m’a doigtée avec violence sans se préoccuper s’il me faisait mal. - Tu aimais ? - Chéri, s’il te plait, tu es sûr… - Oui, oui dis-moi tout. Ce faisant j’ai imprimé des mouvements à mon bassin pour lui indiquer que je voulais qu’elle me branle à nouveau. « J’étais comme folle de désir. Il m’a pris la bouche et il m’a embrassée. J’avais du mal à respirer. » - Il te parlait ? Dis-moi. - Oui, il me traitait de salope, de pute. « Ensuite, il a enlevé ma jupe, m’a prise à la taille. Il m’a demandé de sortir sa queue. Tout de suite quand j’ai senti sa bite toute dure dans mes mains, je n’ai plus eu qu’une envie, la sucer, la prendre en bouche. Je me suis accroupie, j’ai regardé un instant cette queue devant mon visage puis je m’ai enfournée dans ma bouche déformée par la taille de l’engin. D’une main je la branlait, de l’autre je jouais avec ses couilles. Il me disait : - Vas y petite salope, suce bien la queue de Philippe. Elle est bien plus grosse que celle de ton con de mari. Je veux que tu me dises du mal de lui, que tu me dises que tu le méprises depuis que tu m’as rencontré. Mais ...
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