1. La caméra espion 9


    Datte: 25/01/2021, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... j’étais trop absorbée par ce que je faisais pour lui répondre. Je l’avais prise entièrement en bouche ce qui me dispensait de répondre. Je léchais, engloutissait, aspirait pour lui pomper sa semence. Il m’a ordonné de me caresser la chatte en écartant bien les jambes. J’étais accroupie, ma chatte bien ouverte. Il ne m’a fallu que quelques minutes pour avoir un premier orgasme. Enorme orgasme. Alors il m’a prise aux cheveux pour me plaquer contre son ventre et m’empêcher de reprendre mon souffle. J’ai eu des hauts le cœur, des hoquets, mais il me maintenait. Un moment j’ai même paniqué car j’ai imaginé qu’il pouvait me tuer. Puis il m’a libérée, m’a redressée, m’a à nouveau plaquée contre le mur. Il a pris une jambe, l’a levée très haut pour m’ouvrir. Je me suis accrochée à son cou, mon autre jambe, sur la pointe du pied, touchait à peine le sol. Là, il m’a pénétrée d’un seul coup, sa bite plantée jusqu’à la garde. Je ne me souvenais plus d’avoir été autant remplie. Je sentais son sexe dur, tendu, énorme en moi. Il s’est mis à me limer le vagin tout en vomissant des mots orduriers. » - Dis-moi ce qu’il te disait Je voyais bien qu’elle s’excitait de plus en plus en me parlant. En fait elle revivait en pensée ces moments en me les racontant. Et cela m’excitait aussi. Elle reprit aussitôt : « - Putain que t’es bonne ! Ta chatte est bien étroite ? Ce n’est pas ton cocu avec sa petite bite qui peut te dilater le con comme moi. C’était vrai que je me sentais écartelée et que les ...
    ... frottements de sa queue me brûlaient les muqueuses vaginales. Il n’arrêtait pas non plus de me parler pour me déstabiliser. - Tu sens bien mon bâton comme il est dur et qu’il te ramone bien ta chatte. Ce n’est pas ton cocu de mari qui peut le faire. J’ai eu presque immédiatement un premier orgasme, très fort. Puis quand j’ai repris mes esprits il s’était retiré, m’a prise par la taille, m’a poussée sur le lit, m’a couchée sur le dos, a passé mes cuisses sur ses épaules et là, il s’est introduit à nouveau en moi d’un seul coup. Et tout au fond. Je me sentais entièrement remplie. Je retrouvais les mêmes sensations que quand il me baisait chez nous avec Jacques. » - Tu penses encore à Jacques ? Tu es toujours amoureuse ? Je réalise qu’elle a prononcé involontairement son prénom. C’est ce qui a éveillé mes soupçons. Elle affichait une mauvaise fois évidente dans réponse. - Non, pas du tout. C’est un imbécile et je ne veux plus entendre parler de lui sinon avec sa femme, en copains. Je l’ai complètement sorti de mes pensées. - Et Philippe alors ? - Lui, ce n’est pas pareil. C’est uniquement une histoire de sexe et de baise. Il me subjugue et me rend folle de désir. Je ne sais pas comment me libérer de son pouvoir sur moi. Tu m’y as aidé et s’il ne s’était pas manifesté, je crois que cela me serait passé. Cette allusion à cette période m’a fait mal. Mais je n’en fis pas la remarque. Elle poursuivait, la main sur ma queue toujours tendue. C’était pour elle comme une garantie que ...