En formation à Paris
Datte: 26/01/2021,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
hotel,
rasage,
jouet,
... son petit jeu et que l’on trouvera un arrangement pour faire discrètement une photo. La journée se termine ainsi. Sur le trajet du retour à l’hôtel, ma collègue me taquine gentiment concernant la future perte du pari. Beau joueur, je ne réponds pas et la laisse espérer… Comme depuis le début, on se donne rendez-vous à 20 heures pour dîner ensemble. Une fois dans ma chambre, je reprends ma routine du soir : douche, appel à ma chérie, changement de tenue… Installé tranquillement sur mon lit en regardant les nouvelles du monde à la télé, je repense à cette journée. C’est quand même dommage tout ce gâchis… car j’avais une immense ouverture pour une super partie de jambe en l’air avec une femme sublime, coquine et joueuse. Ça doit être le pied de coucher avec elle. J’essaye d’imaginer si je lui avais dit oui. Qu’aurait-elle voulu ? Une soirée avec finition à l’hôtel ou sauvagement dans les toilettes ou directement sur le bureau de la salle de formation ? Avec ma collègue en prime… Waw, le fantasme ! Mes pensées sont interrompues par un message sur mon téléphone. Probablement ma femme. Ah non, c’est ma collègue. Que veut-elle ? Probablement encore me chambrer sur notre pari. À quoi veut-elle jouer ? La soirée s’annonce encore très bien. Je vais peut-être avoir droit à un nouveau défilé. Je descends les deux étages et frappe à sa porte. — Entre, c’est ouvert. Je pousse la porte et entre dans la chambre, mais je ne vois personne. — Peux-tu venir dans la salle de bain, je me suis ...
... fait mal au dos. La porte de la salle de bain est légèrement entrouverte. Je m’approche : — Je peux entrer ? Tu es sûre ?— Oui, viens. En poussant la porte, je découvre ma collègue, enroulée dans une serviette, complètement pliée en deux. Elle semble souffrir. — Ça va ? Qu’est-ce qui t’arrive ?— Je me suis bloqué le dos, j’ai mal. Il faut que tu m’aides à aller sur le lit pour m’allonger. Une fois allongée, ça ira mieux. Ça m’arrive de temps en temps. Faisant le tour de la pièce, je comprends qu’elle devait être en train de prendre une douche. L’eau coule encore, elle n’a pas dû bien fermer le robinet et tous les shampoings sont en vrac au fond du bac de douche, il y a même un rasoir. Je ne m’attendais pas à ça. Je l’attrape en passant ses bras autour de mon cou pour qu’elle se tienne à moi. Nous arrivons tant bien que mal jusqu’au lit où elle s’affale sur le ventre. — Tu veux que j’appelle un médecin ou que j’aille chercher des médicaments à la pharmacie ?— Non, j’ai ce qu’il faut. J’ai déjà pris un calmant avant que tu arrives et je me mettrai de la crème quand ça sera calmé.— Ça t’arrive souvent ? Tu as l’air d’avoir très mal.— De temps en temps, quand je sollicite mon dos.— Parce que tu faisais des acrobaties sous ta douche ?— Oui, répond-elle, accompagné d’un gémissement de douleur.— Tu as trop mal, elle est où cette crème ?— Un tube jaune sur le bord du lavabo. Je récupère le tube et, arrivé près du lit, je m’aperçois d’un problème. Je vais devoir déplacer une partie de sa ...