En formation à Paris
Datte: 26/01/2021,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
hotel,
rasage,
jouet,
... bon, il faut que j’en profite, ce n’est pas tous les jours que je pourrai poser mes doigts sur le sexe de ma collègue. Je reviens à proximité du lit avec ma serviette et le rasoir. — Vas-y, installe tout, dis-moi comment faire, c’est toi le professionnel, me dit-elle fièrement, mais un peu gênée quand même. Je m’assois à sa droite au niveau de ses cuisses. — Lève un peu tes fesses que je glisse la serviette dessous. J’ironise pour détendre la situation en ajoutant : — Attention de ne pas te faire mal au dos…— Très drôle, réplique-t-elle.— Je crois que l’on arrive au moment où il faut que tu te dévoiles. Tu es vraiment sûre ? Car après cela, notre amitié sera définitivement ruinée.— Avec tout ce que tu as vu de moi, je pense que tout est déjà ruiné. En prononçant cette phrase, elle relève le bas de sa serviette et écarte légèrement les cuisses laissant apparaître son sexe recouvert d’une toison, disons particulière… J’admire cette toison assez abondante. On peut voir sur la partie supérieure, des traces de rasoir maladroites qui sont très loin d’avoir formé un cœur. — Surtout, si ça ne va pas ou si je te fais mal, il faut me le dire. Je pose ma main gauche sur le bas de son ventre et approche le rasoir sur le haut de sa toison. Dès le début, je comprends que je n’arriverai à rien de bien avec cela, surtout à sec sans crème ou mousse. — Je vais te faire mal comme ça, tu n’as pas de la crème ou de la mousse ?— Non, j’ai rien emmené, ce n’était pas prévu au programme. Une idée ...
... me traverse l’esprit. — J’ai une petite tondeuse sur mon rasoir électrique, je pense que cela pourrait être mieux, au moins pour le début et pour essayer de faire quelque chose qui ressemble à un cœur.— Pourquoi pas, au point où l’on en est… Je file dans ma chambre récupérer mon rasoir. Et dire que ce matin il me servait à raser ma barbe… En passant dans ma chambre, je jette un coup d’œil à mon téléphone. Mince cinq appels en absence de ma chérie et deux SMS. J’envoie un petit mot en trouvant une excuse bidon et je retourne à ma tâche. En revenant dans la chambre, ma collègue n’a pas bougé et est toujours dans la même position : allongée, les jambes écartées et relevées, c’est presque une invitation. Je me repositionne près d’elle et allume mon rasoir. Au premier contact, les petites vibrations la font un peu sursauter. — Oups, désolé, j’aurais dû te prévenir. Si ça te gêne, n’hésite pas à me le dire. Je commence sérieusement la tâche pour laquelle je me suis engagé. Une fois la partie haute préparée, je me rends compte que je ne pourrai pas faire un joli cœur comme habituellement. — Est-ce que ça te gêne si je change de technique ?— C’est à dire ?— D’habitude, je laisse une petite épaisseur et je rase complètement pour faire le cœur. Mais là, vu le désastre que tu as fait, je vais devoir faire l’inverse. Raser entièrement et laisser une petite épaisseur pour le cœur. Ça fera style ticket de métro, mais avec un ticket en forme de cœur.— OK, je te fais confiance. Me voilà parti ...