En formation à Paris
Datte: 26/01/2021,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
hotel,
rasage,
jouet,
... moi je n’ai fait que poser mes doigts, alors que toi…— OK, chut, on a dit que cela resterait secret. Notre conversation est interrompue par une annonce : « Le train initialement prévu à 21 h 30 est annulé. » — Mince, on fait quoi ?— Je sais pas, je pense que l’on est coincé ici.— On ne va quand même pas passer la nuit dans la gare, s’offusque-t-elle.— Non, c’est clair. Faudrait que l’on reprenne nos chambres à l’hôtel et on verra demain avec la boîte pour se faire rembourser.— OK, retour à l’hôtel. Après avoir prévenu nos conjoints respectifs, nous refaisons le trajet en métro en sens inverse. — Bonjour, nous souhaiterions reprendre nos chambres pour la nuit, car il n’y a pas de train à cause de la grève.— Très bien, je regarde. …. — Je suis désolé, mais les chambres que vous occupiez sont prises.— Pas grave, donnez-nous deux autres.— Je suis désolé, mais je n’ai plus qu’une seule chambre de disponible. J’interroge ma collègue du regard qui regardant l’heure et étant fatiguée par ce contretemps, me fait signe qu’elle accepte, mais ajoute : — C’est deux lits simples ?— Non, celle qui reste est en lit double. Cela ira ?— Oui, acceptons. On se dirige donc tous les deux vers notre chambre. Dans l’ascenseur, ma collègue ne dit pas un mot. Est-elle épuisée ou est-ce la situation qui ne l’enchante pas ? J’ouvre la porte et la laisse entrer. Nous posons nos valises chacun dans un coin, puis on s’assoit tous les deux au bout du lit, dépités, face à la télé éteinte. Ne sachant pas ...
... dans quel état se trouve ma collègue, j’attends qu’elle engage la conversation: — Si on avait su…— Oui, on aurait gardé nos chambres et on aurait pu se promener plutôt que de poireauter dans la gare.— C’est clair, je suis dépitée et épuisée. J’avais tellement hâte de rentrer. Tu vas dire à ta femme que l’on partage la même chambre ?— Je ne sais pas, je n’y ai pas encore pensé.— Si oui, elle peut se poser des questions et être jalouse.— Et toi, tu vas le dire à ton homme ?— Je pense. On en rigolera.— Si j’avais du courage, je prendrais bien une douche.— Oui, moi aussi.— Pas de soucis, mais vu la taille, je ne pense pas que l’on y rentre à deux.— Pfff, t’es bête !— En plus, tu risquerais de te refaire mal au dos.— Pffff, pas grave, tu sais ce qu’il faut faire maintenant.— Oui, je vois déjà l’ordonnance que je pourrais te prescrire : en cas de mal de dos, un massage, un rasage et un orgasme… et le mal de dos disparaîtra aussitôt.— C’est vendeur, tu devrais te reconvertir.— En médecin ou en gigolo ?— Pour le premier, je crois qu’il faut faire des études, alors il te reste que le deuxième…— Méfie-toi, j’ai fait un peu d’études quand même dans ma jeunesse. Mais il est vrai que j’ai plus d’expérience pour être gigolo.— Tant que ça ?— T’imagine même pas… Pour être plus sérieux, tu vas à la douche ou j’y vais ?— Vas-y, faut que je trouve des affaires dans ma valise d’abord. Je m’éclipse sous la douche, laissant ma collègue farfouiller dans sa valise. Une fois sous la douche, j’essaye ...