En formation à Paris - Histoires de Sexe

En formation à Paris

... état. Les draps ont beaucoup souffert… Ne pouvant résister et avec pour excuse de préparer ma valise, j’entre dans la salle de bain. — Excuse-moi, mais j’ai des affaires à récupérer.— Ah bon ! J’ai plutôt l’impression que tu viens pour autre chose… ça ne t’a pas suffi ?— Autant en profiter jusqu’au bout… Allez, je te laisse tranquille, mais dépêche-toi, le petit-déj nous attend.— Je me dépêche.— On fait quoi des préservatifs restants et du jeu de l’oie ?— Comme tu veux.— Je te laisse tout alors… tu trouveras bien un moyen d’utiliser tout ça. Après la douche et le rangement, on se dirige vers le petit déjeuner qui est assez rapide, car même si on passe de bons moments, on a tous les deux quand même envie de rentrer chez nous. On récupère nos valises et direction la gare. Cette fois-ci, tout va bien, plus de grève, les trains sont à l’heure et on a trouvé deux places l’un à côté de l’autre, même si le train est complet. Encore quelques heures et on sera dans les bras de nos conjoints respectifs. — Enfin, nous voilà sur le chemin du retour.— Oui, cela aura été une semaine très enrichissante.— À quel niveau ? Je lui demande.— Disons, à tous les niveaux, même les plus improbables.— Tu regrettes ?— Non, du tout, mais ça restera notre secret.— Tes projets sont restés les mêmes pour ta soirée en amoureux ?— Non, il va falloir que je change, car avec le retard, je n’aurais pas le temps de préparer un repas. Il va être obligé de m’inviter au resto. Mais je porterais la tenue que ...

... l’on a choisie et ça finira par un gros câlin.— Il aura quand même une belle surprise avec la sculpture sur la toison de ton intimité.— Oui, plus les sous-vêtements et les jouets que tu m’as fait acheter.— Il a quand même beaucoup de chance…— C’est pas bien d’être jaloux.— Peut-être, mais toi, tu me dois toujours un gage, pour avoir perdu ton pari. Si tu te souviens bien.— Ah bon ? dit-elle innocemment en souriant. Je crois que c’est trop tard maintenant. Et puis vu le monde qu’il y a dans le train, ce n’est pas ici que l’on va faire des folies.— T’inquiète, tout est réalisable et tu n’as pas le choix… tu as perdu. Prête ?— Dis-moi.— Ce n’est pas compliqué : tu as acheté un jouet en forme d’œuf avec une télécommande, tu le prends dans ta valise, tu le mets là où il doit aller et tu me laisses la télécommande.— Non, il y a trop de monde, je ne peux pas faire ça.— Personne ne verra rien, comme tu es gentille et que tu as un pantalon, je t’autorise à aller dans les toilettes pour tout mettre en place. Et de ce que je te connais, je sais que tu es capable de maîtriser tes gémissements.— T’exagère, répondit-elle en se levant pour attraper sa valise, mais comme je suis joueuse, j’assume. Elle met son jouet dans son sac à main et se dirige vers les toilettes. Quand elle se dégage de son siège et passe devant moi, j’en profite pour lui mettre une petite main aux fesses et elle, en profite pour déposer la télécommande de son jouet dans ma main. Pendant son absence, j’ai tout le temps ...