En formation à Paris - Histoires de Sexe

En formation à Paris

... elle est mal coupée. Ce n’est pas à toi que je vais apprendre ça quand même.— Au point où on en est, pourquoi pas… En plus, vu le temps qu’il fait dehors, ce n’est pas ce soir que l’on pourra se promener. Elle prend l’ensemble pantalon et chemisier et va s’enfermer dans la salle de bain. J’attrape la brochure de l’hôtel et l’interpelle à travers la porte: — Connaissant les filles ça risque de durer longtemps cette histoire. Veux-tu que j’aille à la réception pour qu’ils nous apportent à boire et à grignoter ?— Oui, si tu veux. J’abandonne ma collègue quelques instants pour descendre à la réception commander des cocktails et de quoi grignoter pour la soirée. En remontant par l’ascenseur, j’ai toujours du mal à réaliser que je vais assister à un défilé de mode de ma collègue. En rentrant dans la chambre, une petite voix me rappelle :pas de bêtise, tu peux jouer, mais n’oublie pas que tu es marié et elle aussi. Je me réinstalle sur le canapé et ajoute: — Pas encore prête ? Dépêche-toi, l’apéro arrive.— J’arrive, j’arrive… les hommes toujours trop pressés. Elle sort de la salle de bain vêtue du pantalon et du petit chemisier blanc, se place devant moi et fait un tour sur elle-même. — Ça te va très bien. En effet, le pantalon moule parfaitement ses fesses, et l’ensemble a un côté secrétaire sévère qui lui va parfaitement. Nous sommes interrompus par le service d’étage. — Alors, à quoi allons-nous trinquer ?— À notre escapade parisienne ? propose-t-elle.— Oui. Ou à la découverte ...

... d’une collègue très sympa. Je m’aperçois qu’elle est un peu gênée par ma remarque. Tant pis, j’ose continuer: — Ou alors, on trinque aux futures folies que tu vas faire à ton retour.— Disons à tout cela, rougit-elle.— Alors, ton avis sur cette tenue.— Je te l’ai dit, ça te va très bien, mais le pantalon fait peut-être un peu trop sage et sérieux pour une soirée en amoureux.— C’est aussi mon avis, je vais garder le chemisier et essayer avec la jupe. Elle s’éclipse de nouveau dans la salle de bain. — Je te remplis ton verre ?— Oui, merci. J’ai hâte de la voir ressortir, il m’a semblé que la jupe était très courte quand elle l’a étalée sur le lit. Non, je ne vais pas commencer à fantasmer sur elle. Il faut absolument que je reste sage, je ne vais pas ruiner mon mariage et le sien pour une petite partie de jambes en l’air. Et puis rien ne me dit qu’elle serait d’accord. Mais bon, rien ne m’empêche de jouer avec elle et d’essayer d’apercevoir quelque dessous ou un petit décolleté. Mes pensées sont interrompues par le bruit de la porte qui s’ouvre. Elle effectue le même manège, se place devant moi et tourne sur elle-même. — Waw… Comment dire ? C’est, disons, beaucoup plus adapté à ta petite soirée.— C’est à dire ?— C’est beaucoup plus sexy, mais il y a un truc qui casse tout.— Quoi ?— Les petites chaussettes blanches que tu as gardées.— Ah oui, mince ! Aussitôt, elle s’assoit sur le lit en face de moi et retire ces chaussettes. En s’asseyant, sa jupe déjà très courte a remonté très ...