1. Odile devient insatiable


    Datte: 26/10/2017, Catégories: fh, fhh, couple, extracon, cocus, vacances, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, glaçon, couple+h, extraconj, cocucont,

    ... l’orgasme, son souffle devint plus court, son vagin se contractait, son bassin fut pris de mouvements saccadés, venant buter contre celui de son amant. Alors il accéléra et, tout à coup, se bloqua au fond d’elle. Sous la pression de l’éjaculation elle se cabra puis retomba. Le calme revenu, ils se séparèrent et s’assirent l’un à côté de l’autre. Odile était en sueur, ses pointes de seins tendues. Elle leur proposa de dîner assis devant le feu. Alexandre se rendit à la cuisine et s’affaira. L’entrée était composée de saumon sauvage, de toasts et d’un peu de citron, que chacun put presser suivant son envie, un vin d’Alsace pour l’harmonie. La suite, une viande rouge froide sur un lit de salade, et en dessert une charlotte aux pommes. Pendant tout le temps que mit Alexandre dans sa préparation, Odile resta blottie dans les bras de son mari, très chatte et câline, se laissant cajoler tout en embrassant Louis passionnément. Lui savait qu’une fois le repas terminé, il aurait le second rôle, mais de la voir s’éclater avec un tel partenaire le ravissait. Il avait tout fait pour en arriver là, même si intérieurement il en ressentait un peu de jalousie, ne pouvant lui procurer autant de plaisir. Le repas se passa bien, tous les trois se faisant des confidences plus ou moins intimes, Louis en profita pour poser la question qui n’avait pas obtenue de réponse après la première soirée. — Vous aviez déjà couché ensemble tous les deux avant la soirée. Une telle complicité entre vous ne peut ...
    ... s’imaginer autrement. Un silence s’établit. Odile et Alexandre se regardèrent, se demandant qui allait répondre. Ils essayèrent de changer de sujet mais il n’en démordit pas et reposa la question. Ils se devaient de répondre. Odile se tourna vers son mari. — C’est vrai, nous nous sommes rencontrés pendant ton stage en mars. Tu devais me téléphoner souvent, et mis à part le jour de ton arrivée tu m’as laissée cinq jours sans nouvelles. J’étais inquiète, Alexandre m’a téléphoné le jeudi pour son travail, il m’a senti anxieuse, et le soir il m’invitait à prendre un verre. J’ai refusé. Le lendemain, tu me téléphonais pour me dire que tout allait bien, puis la communication fut coupée. Le soir, il m’attendait à la sortie, nous sommes allés boire un cocktail, et nous avons dîné ensemble au restaurant. Dans la discussion j’ai lâché que je ne souhaitai pas rester seule ce week-end-là. Et voilà.— Et vous avez ?— Pas le soir même. Arrivés chez lui, fatiguée de la semaine, énervée aussi, je lui ai demandé d’attendre. Une fois couchés, je me suis endormie dans ses bras. Le lendemain, quand je me suis réveillée, il l’était aussi. Je me suis mise sur lui, il avait envie de moi, et moi de lui. Le week-end, nous l’avons passé ensemble.— Et vous vous êtes revus.— Oui, plusieurs fois. Louis était pâle. Odile s’approcha de lui mais il la repoussa. Alexandre se leva et leur dit qu’il préférait partir. Il l’en empêcha en lui rapportant ses propos téléphoniques. — Non, tu te dois de rester, tu as ...
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