Odile devient insatiable - Histoires de Sexe

Odile devient insatiable

... posa sa queue entre ses fesses, elle se laissa faire et s’accroupit sur lui. Il rentra sans difficulté en elle, elle se mit à onduler du bassin d’avant en arrière. Les mains de Louis s’égarèrent sous sa nuisette et lui malaxèrent les seins, dont les bouts se durcirent. L’attirant vers lui il murmura à son oreille. — Donne-moi tes fesses. Odile se releva, mit sa tête dans les deux oreillers se trouvant sur le lit et s’écarta, puis de ses mains s’ouvrit les fesses. Louis se saisit d’un tube et lui mit de la pommade. Tout en massant, il enfonça un doigt. Son sphincter se dilata progressivement. Il promena son sexe sur l’œillet brun, l’appuya, entra, attendit que les muscles s’habituent puis appuya de nouveau. Sa queue rentra entièrement. Une fois au fond il entreprit un va-et-vient lent puis plus rapide et profond. Lui qui ne parlait jamais pendant l’acte laissa exploser sa hargne. — Elle est moins grosse que celle de l’autre mais elle te fait du bien quand même ? Odile jugea plus prudent de ne pas répondre. Il continua en lui tapant sur les fesses qui devinrent rouges sous les claques. L’étroitesse voulue par Odile ne lui permit pas de résister très longtemps, il se vida en elle, en deux ou trois contractions. Elle expulsa l’intrus hors de son anus, et resta sur le côté. Il se leva et fit une petite toilette. En revenant, la posture alanguie de sa femme entièrement nue maintenant lui redonna envie. Il lui appuya sur une épaule afin de la mettre sur le dos, Odile obéit, lui ...

... offrant sa nudité. Il se coucha sur elle. D’un coup de reins rageur il prit possession de son sexe, en appui sur les bras, donnant de violents coups de boutoir, venant à chaque fois écraser son pubis contre le sien. Odile réagit aux assauts de son mari en avançant son bassin, ses jambes un instant immobiles se croisèrent sur ses fesses, ses bras l’attirèrent vers elle. Une fois sa bouche à sa portée, elle l’embrassa fougueusement, longuement, des plaintes sortirent de ses lèvres. Relevé sur ses bras, Odile accrochée à lui, la lutte était terrible, chacun voulant que l’autre expire avant lui. Louis alternait un pilonnage profond ou succinct, lent ou rapide, suivant les réactions d’Odile. Il sut qu’elle allait bientôt s’abandonner, il amplifia ses coups. Elle se raidit en se plaquant encore plus contre lui, il continua avec des mouvements du bassin, mais elle en demanda encore, il reprit son pilonnage. La transpiration faisait briller leurs corps toujours soudés, leurs dents se touchaient sous l’intensité du baiser. Louis se donnait à fond. Odile était sur le chemin de la volupté. Rarement son mari lui avait procurait un orgasme aussi long, une deuxième vague puis une troisième vague la submergea. Elle cria. — Maintenant ! Louis n’attendit pas plus longtemps. Les jets jaillirent jusqu’au fond de son vagin, ce qui déclencha chez elle une nouvelle montée de joie. Ils restèrent l’un sur l’autre, aucun des deux ne voulant lâcher l’autre. Il sentit son sexe se raccourcir et sortir du ...