1. Odile devient insatiable


    Datte: 26/10/2017, Catégories: fh, fhh, couple, extracon, cocus, vacances, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, glaçon, couple+h, extraconj, cocucont,

    ... situation le dépassait, lui qui avait cru mener le jeu se retrouvait dépassé, Odile l’avait prévenu, si elle trouvait un bon partenaire, il risquait de pas apprécier, mais il ne se doutait pas à ce moment-là de se trouver dans cette situation. — Non, restez. Ne partez pas. Mais avouez que comme coup de massue c’était pas mal. Odile regarda Alexandre, guettant sur son visage un signe. Il hocha la tête, vint s’asseoir et se servit un verre. Les deux autres firent de même. Louis était nu, il se trouva un peu ridicule, ce n’était pas son soir. Il se leva et s’habilla. La discussion reprit et se prolongea. À la fin, Louis était redevenu coopératif. Il admit qu’il était à l’origine de tout et qu’il comprenait le point de vue de son épouse. C’était dur à passer mais il l’admettait. Odile profita de son avantage pour lui demander. — Je crois que pour toi le cœur n’y est plus. Je souhaiterais finir le week-end avec Alexandre, comme nous l’avions envisagé. Est-ce que tu y vois un inconvénient ou préférerais-tu que nous restions ?— Oui tu as raison, je serai un rabat-joie alors faites comme vous le voulez. Mais quand rentreras-tu ?— Lundi. Elle se leva, l’embrassa le plus tendrement que la situation le permettait, prit un sac qu’elle avait préparé et se dirigea vers l’entrée, Alexandre sur ses talons. La porte refermée, Louis parla tout seul. — Mais que je suis con ! Ce n’est pas possible de l’être autant que cela ! Il décida de boire encore un verre, il ne conduisait pas, alors… Il ...
    ... remit deux bûches dans la cheminée et se coucha sur le canapé. La douce chaleur du feu et l’alcool firent leur effet, il s’endormit. Tard le dimanche il se leva, avec un mal de tête. Il prit deux cachets et une bonne douche. Se retrouvant seul dans leur maison, tout lui parut triste malgré le soleil. Il se décida à sortir marcher pour s’oxygéner, et passa la soirée devant la télé à regarder le film du dimanche soir. Le lundi matin il partit travailler, mais sans entrain. La journée fut longue. Il rentra dans la maison vide, tourna en rond dans le noir, un peu perdu et ne sachant qui appeler. Il chercha dans le secrétaire le numéro de téléphone d’Alexandre mais ne le trouva pas, dans l’annuaire, mais à quel nom, il réalisa qu’il ne connaissait que son prénom, alors il s’assit et attendit. Vers vingt heures, un ouragan entra dans la maison. Odile alluma et vit son mari dans un fauteuil, l’air perdu. Elle l’embrassa, déposa des paquets et en chantonnant prépara le dîner. Une fois fait, ils passèrent à table. Il ne put s’empêcher de lui demander. — Tu as passé un bon week-end ?— Très agréable, même si sans toi c’est peu moins bien. Vois-tu j’aime quand tu me regardes dans l’action, cela amplifie mon bonheur. Elle se leva, débarrassa la table et lui proposa de se coucher. Il accepta. Dans le lit, elle se fit très chatte, le caressant, l’embrassant sur tout le corps. Louis, après un moment de froid, ne résista pas. Il profita d’un moment où elle se trouvait sur lui. Il la bloqua et ...
«12...567...19»