Premiers pas (1)
Datte: 28/01/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... embrasement violent, je devinais son bonheur aux grimaces de plaisir quand le va et viens de son bassin désordonné laissait place aux spasmes de son corps désarticulé. J’étais subjugué par ce spectacle et à la fois bien seul. Je sentis alors une main tendre presque maternelle m’amener vers l’autre canapé. Elle me fit assoir s’installa entre mes jambes, pris ma verge entre ses doigts délicat, approcha son visage de ma hampe et entreprit une douce fellation. J’avais de la chance, une créature de rêve s’occupait de moi, tandis qu’en face de moi, le plus beau show que ma vie sexuelle m’ait donné de voir était en représentation exceptionnelle. Sa bouche était divine, une experte, une tel douceur que je me surprenais à fermer les yeux et à profiter égoïstement de cet instant. Elle se leva, puis me demandant la permission, m’enjamba, plaça mon sexe dans son antre et démarra des allers-retours de l’enfer. Je caressais son corps qui ondulait sur moi, ses long cheveux chatouillaient mon torse au rythme de son bassin, j’entendais sa respiration s’accélérée, et ses premiers gémissements bruyants. Mais je n’étais pas concentré. J’étais perdu au milieu de mes songes, les yeux rivés sur ma femme et malgré moi je l’ai délaissé, elle qui en méritait autant. Je n’étais peut être pas prêt à donner à une autre femme ce que j’ai réservé à la mienne pendant des années. Je le regrette parfois, j’aurais voulu la soigner comme ma femme s’est occupée de mon frère, et comme lui la rendu heureuse lors ...
... de cette soirée. Après un court instant qui parue des heures, nos couples retrouvaient du sens. Ma femme m’attendait à quatre pattes sur le canapé, dans un élan brutal je l’empoignais par les reins, et la pénétrais de toutes mes forces. J’avais comme un besoin de réaffirmer ma place dans sa vie, qu’elle se rappel à quel point nos ébats amoureux étaient fort. La peur au ventre que le plaisir d’un autre homme ne lui fasse oublier le nôtre. Je ne regardais qu’elle, le temps d’un instant j’oubliais même la présence de nos amis qui de l’autre côté de la pièce se rappelaient aux bons souvenirs de leur corps. Vaillants nous lâchions toutes nos forces dans la bataille. Notre musique amoureuse couvrait celle plus impersonnelle du slow qui nous accompagnait. Nous nous aimions, chacun dans notre coin, merveilleux ballet de mains, de jambes, de corps qui s’extasiaient. Le bruit des bassins s’entrechoquant mêlé à celui des fessées était une douce mélodie à mes oreilles. Et dans une synchronisation parfaite, le cri orgasmique des filles rejoignait le râle viril des garçons. Nous finissions par nous relâcher abasourdi par cet ouragan d’amour qui nous traversait le cœur. Un léger sourire rempli de passion et de compassion inondait le visage de nos amoureuses. Nous restions là amorphes, encore un long moment dans cette douce béatitude, le regard perdu dans les étoiles. Je n’aurais jamais imaginé un tel bonheur, l’excitation qui monte crescendo, pour exploser en de milliers de sensation. Je ...