1. Petit coup de main


    Datte: 29/01/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail fgode, fist, fdanus, jouet,

    ... fait rentrer un peu à nouveau. Je la soupçonne même de le faire volontairement. Je regrette presque que personne ne soit témoin. C’est surréaliste ! Je vois l’anus qui se dilate au fur et à mesure que le plug apparaît. Il se dilate même beaucoup. C’est vrai que son jouet est d’une taille impressionnante. Pas énorme, non, mais quand même bien au-delà du diamètre moyen d’un sexe mâle en pleine érection. Le lubrifiant a largement fait son effet et petit à petit l’objet du délit est passé au-delà de sa plus grande largeur. Je tire doucement pour l’enlever complètement mais Viviane me retient d’une main et le repousse légèrement. J’ai compris son désir et pour finir son plaisir, j’alterne les mouvements de mon poing droit avec celui du plug de la main gauche. Elle s’agrippe les seins des deux mains et se les torture gentiment en étirant les tétons saillants. Elle halète de plus en plus fort, ses gémissements se tournent en cris et je retire le plug pour mettre les doigts de ma main gauche sur son clitoris. Apercevoir cet anus dilaté me donne la furieuse envie d’y mettre autre chose. Mais ce nouveau contact la fait se cambrer violemment, presque tétanisée. Seuls ses pieds et sa tête touchent le canapé. J’agite plus fort les doigts de la main gauche pour caresser son bouton prêt à exploser tandis que mes doigts droits frottent la face interne du clitoris, dans le vagin. Au moment où je resserre mes deux mains pour presser les deux faces en même temps, elle se lâche complètement. ...
    ... Elle pousse un cri, mais pas un cri strident non, un petit cri du bout des lèvres, en soufflant tout l’air de ses poumons. Et surtout, elle inonde tout. Mes doigts, mes mains. Heureusement que nous avions mis une serviette en dessous. Et ça coule ! Ça n’arrête pas ! Cependant pas une odeur d’urine. Non c’est une fontaine, LA fontaine de jouvence. Je dois me faire violence pour ne pas y coller ma bouche. Alors qu’elle se calme, je retire très lentement ma main droite pour ne pas lui faire mal. Seulement au moment où mes doigts la quittent, elle resserre les jambes pour me garder prisonnier avec un grognement de désapprobation. Je comprends qu’elle souhaite prolonger ce moment, mais cela ne me semble absolument pas raisonnable. Je romps tout contact. Elle me regarde, écrasée, mais un très beau sourire illumine son visage. Pendant qu’elle me fixe, c’est ce moment que je choisis, sans la lâcher des yeux, pour porter les doigts de ma main droite à mes lèvres. Le goût. Un délice. Du miel. Si doux. Son sourire est encore plus grand, ses yeux pétillent de contentement en me voyant faire. Je murmure : — Je te laisse récupérer, tu permets que j’aille me laver les bras ?— Oui, bien entendu, répond-elle doucement, il y a tout ce qu’il faut dans la salle de bain, sers-toi.— Je vais prendre mon temps que tu te remettes.— Merci Renaud, merci beaucoup. J’en ai besoin mais c’était si bon, si fort. Merci.— Pas de quoi, les collègues c’est fait pour ça.— Si, merci et pas que pour avoir enlevé le ...