Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (1)
Datte: 30/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... éjacs » ! Quel imbécile j’avais été, de ne pas pratiquer cela plus tôt !... En toute honnêteté, mon sexe est de taille normale, en longueur et diamètre. Ma particularité est d’avoir toujours eu des éjaculations extrêmement copieuses et puissantes, une bonne dizaine de fortes giclées à chaque fois, souvent plus. Jouissant allongé sur mon lit, il m’est arrivé très fréquemment de m’asperger jusqu’au menton ! C’est hélas moins vrai à mon âge, mais on ne peut pas être et avoir été… Avant de découvrir la masturbation, je faisais des rêves érotiques, et m’éveillais « inondé », le pyjama complètement trempé, mes draps aussi. Il est impossible, que ma mère, faisant mon lit et la lessive ne s’en soit pas aperçue, elle n’a jamais évoqué la chose. Mais on ne se masturbe pas dans le vide, il faut « matière à branlette » pour cela. Ma mère constituait mon unique contact féminin. C’est tout naturellement vers elle que se tournèrent mes premières pensées et actions « inconvenantes ». Et pourtant, cela me dérangeait, car j’avais un immense respect pour elle. Dès lors, son petit et anodin « strip-tease », quotidien à son retour du travail prit de plus en plus d’importance. La gorge sèche, le cœur battant, et… la bite déjà tendue, je guettais son retour avec impatience. Tout en faisant mes devoirs sur la table du salon, je la suivais des yeux. Son rituel était toujours le même. Fort belle, elle travaillait comme hôtesse d’accueil dans une grande société. Elle se devait d’être toujours en ...
... tailleur élégant, et en talons hauts. Bien évidement, sa jupe était raisonnablement mini, un peu au-dessus du genou, mais rien que la vue de ses belles jambes me faisait déjà de l’effet. Elle ôtait sa veste, puis, lasse, se laissait choir dans le canapé. Elle retirait lentement ses escarpins, puis se massait longuement les pieds, des pieds maltraités par les chaussures et la position debout presque toute la journée. J’ignore pourquoi, j’étais fasciné par ses pieds, fins, délicats, aux ongles continuellement vernis de rouge ou de rose. J’en ai conservé une attirance particulière pour le pied féminin. Mais je vous rassure, j’adore tout le reste ! Pour moi, si une femme est belle elle peut l’être… de la tête aux pieds. Maman quittait ensuite sa jupe, son chemisier, et si nous étions en hiver, son collant. Elle ne restait plus qu’en soutien-gorge et petite culotte. Elle était sublime, mon érection se faisait douloureuse ! Elle alternait des parures de diverses couleurs : blanches, noires, rouges, bleues, mauves, et parfois chair. Ses culottes étaient petites et toujours fort jolies, parfois garnies de dentelle. Quelques uns de ses petits slips étaient presque transparents, et j’ai souvent deviné un beau buisson noir dessous. Ce n’était pas non plus cette mode effrénée du sexe épilé comme actuellement ! J’en ai aussi conservé une passion pour les petites touffes bien fournies… Puis, Maman traversait le salon, et disparaissait dans la salle de bains pour y prendre sa douche. J’en ...