Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (1)
Datte: 30/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... profitais pour m’éclipser de suite dans ma chambre, où, les yeux encore pleins des images que je venais d’emmagasiner, je me branlai comme un damné, jusqu’à une éjaculation « geyser ». Je murmurai : — Valérie, oh Valérie, je jouis pour toi, pour toi ! Dans mes branlettes, elle n’était plus « Maman », mais « Valérie ». Par ce maigre subterfuge, je chassais la honte qui me submergeait. Je ne me masturbais pas pour une très respectable mère, mais pour une jolie femme, tout simplement. Presque en même temps, nous nous retrouvions ensuite dans le salon. La température de notre appartement restant à peu près constante et agréable, Maman n’était continuellement vêtue que de simples t-shirts lui arrivant à mi-cuisses. Dessous je savais qu’elle conservait une culotte, mais en revanche, un ballottement très érotique me confirmait que sous le léger tissu, sa poitrine opulente était libre de tout soutien-gorge… Et elle marchait toujours pieds nus, toutes les pièces exceptée la cuisine étant pourvues d’une épaisse et confortable moquette. mpomnnih Un soir que comme à l’accoutumée, elle se déchaussait, assise dans le canapé, je tentai ma chance, ne craignant tout au plus que de me faire un peu rabrouer. Je me jetai à genoux devant elle, et lui dis : — Si tu veux, je peux te masser les pieds ! Je m’attendais à un net refus de sa part, mais bien au contraire, le sourire aux ...
... lèvres, elle répondit : — Bah, si tu veux, pourquoi pas ! J’étais fou de joie, mais essayai de n’en rien laisser paraître. Avec élégance, je pris son pied droit dans ma main, et je commençai à le masser. Mon érection était à son comble. De mes pouces, je remontai la plante, en appuyant fort, puis massai délicatement les orteils, un à un. Maman se laissait faire, alanguie dans le canapé, les yeux fermés. Comme elle était assise, sa minijupe remonta assez haut sur ses merveilleuses cuisses, que j’avais là, à quelques centimètres de mon visage. Je crevai d’envie de me jeter dessus, les caresser, les lécher, mais je devais me contenter « d’honorer » ses jolis petits pieds. Comme elle avait légèrement écarté les jambes, je vis sans peine sa culotte, mauve ce jour-là. J’ôtai lentement son autre escarpin, avant de « m’attaquer » à son pied gauche, auquel je prodiguai le même traitement. — Hmmmm, tu me fais du bien ! Tu ferais un excellent kiné ! Ajouta Maman dans un souffle. Mon massage achevé, je conclus par de timides bisous sur ses orteils, guettant sa réaction. Mon geste la fit rire. Je ne vous dis pas la branlette qui suivit dans ma chambre, terminée par un « Niagara » de foutre ! J’en avais partout sur moi, des rigoles coulaient de mon torse jusque sur mes draps. Ne subsistait qu’une inquiétude : cet acte aurait-il été unique ? Ou bien se reproduirait-il ?...