C'est grave, docteur ?
Datte: 26/10/2017,
Catégories:
fh,
médical,
Voyeur / Exhib / Nudisme
69,
préservati,
pénétratio,
fdanus,
hdanus,
humour,
... Nous émigrons dans la chambre pour prendre quelque repos bien mérité. Le lendemain matin, je la trouve blottie contre moi, mon torse en guise d’oreiller. Je garde toujours près de moi un carnet où je dessine, où j’y laisse des idées de futures sculptures. Cette fois je la croque, le petit nez, un sourire angélique, l’arc du sourcil et l’ombre de la pommette, la rondeur d’un sein et sa friandise, une mèche sur le front, l’ombre des cils sur une paupière. Dessiner une personne permet de la connaître intimement, de découvrir sa personnalité. De Dominique, je découvre la douceur, la gentillesse et un reste de candeur enfantine. De la croquer ainsi me remue les sangs, réveille mes ardeurs amoureuses. Bref, il se passe des choses sous le drap. Ça se déplie, se déploie, se rigidifie et finit par atteindre sa main innocemment posée sur mon ventre. — Hummm, murmure-t-elle en se saisissant de l’objet ; ça tombe bien, je ne suis pas de garde aujourd’hui.— Tu vas m’épuiser.— Mais non, ça fait partie de la rééducation. La voilà revenue sur mon torse, la voilà qui s’empale à nouveau sur mon soc et ondule du croupion. Nous nous embrassons doucement ; en général le matin je me trimballe une haleine de chacal, mais cela ne semble guère la gêner. Au bout d’une dizaine de minutes, c’est de nouveau le grand spectacle son et lumière. Après quelques instants de plénitude, elle s’étire et me serre contre son cœur. — J’ai oublié de te passer un préservatif.— Je suis désolé.— Tant pis, faut bien se ...
... lancer un jour. Sur ces paroles sibyllines Dominique se lève et se plante devant moi, dans toute sa splendeur et me déclare : — J’ai faim. C’est nus que nous avalons notre petit déjeuner, puis que nous prenons notre douche commune. Mais pas question de galipettes sous l’eau, je suis, paraît-il, fragile, une chute malencontreuse sur la savonnette et elle me ramène à l’hosto avec une épaule en vrac et une éventration, quelle horreur. Toujours nus nous visitons mon atelier, Dominique s’extasie sur la douceur du bois, la couleur, l’utilisation des veines et cernes. Visite ponctuée de baisers et caresses. Remontés dans l’appartement, je lui propose une séance de dessin. Elle pose debout, de face de dos, allongée. La dernière pose la fait réagir. — Tu ne vas quand même pas me dessiner ainsi.— Pourquoi pas.— J’ai honte.— Mais non, tu es trop belle pour ressentir de la honte. Agenouillée, la tête sur un oreiller, les jambes écartées et les fesses en l’air, je croque son merveilleux postérieur et sa figue juteuse. Une photo pourrait devenir vulgaire, un dessin magnifie le modèle.L’origine du Monde de Courbet est-elle vulgaire ? Une fois réalisées plusieurs esquisses, je n’y tiens plus. Je glisse un doigt sur son fruit charnu, ce qui la fait glousser. Rapidement, mon dard encapuchonné remplace le doigt. — Cette position n’est pas interdite par la faculté ?— Non, elle est même conseillée. Si un médicastre venait maintenant la ramener, il serait trop tard, car je suis déjà niché au fin ...