C'est grave, docteur ?
Datte: 26/10/2017,
Catégories:
fh,
médical,
Voyeur / Exhib / Nudisme
69,
préservati,
pénétratio,
fdanus,
hdanus,
humour,
... dessus. Ce faisant, elle ferme les yeux et gémit d’aise. Un sourire béat illumine son visage. Je caresse ses hanches, ses fesses tandis qu’elle entame un lent va-et-vient. Mes mains remontent sur ses seins tout petits, si mignons et délicats. J’en agace les tétons qui se dressent entre mes doigts taquins. Elle se penche vers moi, plonge son regard dans le mien tandis que les mouvements de son bassin deviennent anarchiques, elle laisse échapper de petits cris rauques. Sournoisement, je passe la main entre nos corps et presse son bouton d’amour. Elle se met à trembler, elle émet une longue plainte m’embrasse comme une furie. Étonné par tant de véhémence, je mets quelques secondes avant de remplir la pochette surprise. Je la serre contre moi, lui caresse les cheveux, le dos et les fesses. Dominique semble évanouie, seuls sa respiration haletante et son petit cœur qui bat la chamade me rassurent. — Waouh, je suis bien content de t’avoir comme médecin. Un petit gémissement me répond. — Imagine-toi, pas moyen de faireça avec ce bon vieux Jacques Ouzi. Mon toubib se marre et me fait de petits bisous dans le cou, elle se trémousse sur mon bidon. — Heureusement que mes patients ne sont pas tous aussi séduisants que toi.— Queuwa ? Tu oserais…— Rassure-toi, je ne pousse pas la conscience professionnelle à ce niveau. Un seul me suffit.— Tant mieux, puis-je savoir quand tu as succombé à mon charme ravageur.— Le premier jour, lorsque tu hésitais à me montrer ton testicule d’éléphant et ...
... ton joli voltigeur, tu étais si mignon, si perdu. Ensuite j’ai vu, palpé ces merveilles. MonVoltigeur qui se faisait tout petit se rappelle à mon bon souvenir. — Hummm, il se passe des choses intéressantes là-dessous. Je la laisse quitter l’étreinte de mes bras et me dépiauter le petit chose. Un petit coup de polish et hop, mon asparagus est de nouveau en forme. — Ne t’inquiète pas, j’en ai tout un stock, me rassure-t-elle en revêtant Pôpôl d’unponcho tout neuf. Je veux me lever et lui laisser la place, pour entamer un bon vieux missionnaire des familles recommandé par le Vatican, mais elle m’en empêche. — Pas si vite, vous êtes encore en convalescence, mon cher. C’est ainsi qu’elle s’assied sur mes genoux, torse contre torse, les jambes de chaque côté de mon bassin, elle s’empale sur ma tige. Une fois mon tenon bien introduit dans sa mortaise, nous ne bougeons plus. Nous nous embrassons langoureusement, je sens son doux fourreau presser mon dard, son joli clito frotte contre mon pubis et la fait gémir de plaisir. Lentement, mais sûrement, nous montons tous deux vers le septième ciel, ensemble. Nous nous étreignons l’un l’autre tels des naufragés sur un frêle esquif. Dominique se serre encore plus contre moi alors que son corps trémule de haut en bas. J’en profite moi aussi pour larguer les amarres. Nous récupérons nos esprits quelques minutes plus tard en nous exclamant de concert : — Que s’est-il passé ?— Je ne sais pas trop, mais c’était vachement bon, confirme mon toubib. ...