Une mise en application de mon obéissance
Datte: 26/10/2017,
Catégories:
ff,
inconnu,
caférestau,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
confession,
initiatiq,
Lesbienne
sm,
Résumé :Nathalie vit heureuse en couple, mais cela ne l’empêche pas d’avoir des fantasmes. Le plus fort d’entre eux est celui de coucher avec une femme, et plus précisément avec Corinne, sa meilleure amie. Au cours de vacances, Nathalie lui a dévoilé ses sentiments, un peu malgré elle (voir n° 14821 : Les premiers désirs). À son grand bonheur, Corinne a répondu implicitement à ses avances, sans toutefois qu’il y ait eu une relation physique. Quelques semaines plus tard, l’occasion de passer à l’acte s’est enfin présentée (voir n°14729 : Une initiation particulière), et Nathalie a pu enfin assouvir ses envies, au grand plaisir de son mari, à qui elle a tout avoué. Après l’épisode des vacances, j’ai revu Corinne plusieurs fois. Je lui avais avoué mon fantasme de soumission, et elle se prêtait au jeu avec un petit amusement. Cela demeurait assez soft, mais petit à petit, elle prenait de plus en plus d’assurance. Cela ne faisait que me remplir de joie. Une fois, elle m’a proposé d’aller faire un tour en ville. Il faisait chaud, mais j’ai senti qu’il y avait quelque chose de particulier dans sa demande. Corinne me dit alors : — Allons-y, mais d’abord je vais choisir ta toilette… Je vois dans son regard une pointe de vice, qui me fait frissonner. Depuis quelque temps, je m’attends à tout de sa part. Entrée dans la chambre, Corinne choisit rapidement une robe blanche, boutonnée sur le devant, et surtout, légèrement transparente. — Tiens ! Tu vas mettre cette robe, mais que cette ...
... robe. Une angoisse me saisit : — Sans rien d’autre ?— Non, juste quelques bijoux, si tu le veux.— Mais elle est transparente !— Justement ! En plus, je veux pouvoir sentir ta chatte sous mes doigts quand je le désirerai…— Mais là, on va en ville !— Et alors ? Je veux voir jusqu’à quel point tu peux être docile. Je te rappelle que tu me dois obéissance. Rouge de honte, mais aussi d’excitation, je me vêts lentement en boutonnant la robe de bas en haut. — Non, dit Corinne, n’attache pas le dernier bouton, je veux voir la naissance de tes seins. La naissance, mon œil, pensé-je,si je me penche légèrement, on voit le bord de mes aréoles. Enfin, je me regarde dans la glace, et j’y vois une fille délurée habillée de façon provocante. Je devine le petit triangle sombre de ma chatte. Mon sang ne fait qu’un tour. Mes pointes de seins se dressent et apparaissent à travers le fin tissu de ta robe. Corinne m’observe d’un sourire narquois, assez satisfaite de son petit effet. — C’est fou ce que tu es belle et désirable dans cette tenue. Je sens qu’on va bien s’amuser toutes les deux. Et nous voilà parties en ville sous un soleil radieux. Les premières minutes à marcher sans culotte et sans soutien-gorge sont un peu difficiles. J’ai l’impression que tout le monde me regarde, mais en fait, avec l’été, la plupart des femmes sont habillées dans des tenues légères. Nous arrivons sur une petite place, et Corinne choisit la terrasse d’un café légèrement en retrait. Après avoir pris place, nous ...